Octobre Rose, ca commence !

L'objectif d'Octobre Rose est de sensibiliser les femmes et de les inviter à se faire dépister

Octobre Rose : se faire dépister quand on vit à l’étranger

Chaque année, le mois d’octobre est consacré à la sensibilisation au dépistage du cancer du sein. Pour les Françaises établies à l’étranger, la prévention reste un enjeu majeur, même loin de l’Hexagone. Se faire dépister hors de France, c’est possible : il existe des solutions et des conseils pratiques pour agir en toute sécurité.

Connaître les dispositifs de dépistage locaux

Dans de nombreux pays, des campagnes de dépistage sont organisées, parfois prises en charge par les systèmes de santé publics ou par des assurances privées. Renseignez-vous auprès des hôpitaux locaux, cliniques spécialisées ou associations de lutte contre le cancer.

Consulter son médecin habituel

Même loin de la France, un suivi médical régulier est essentiel. Votre médecin généraliste ou gynécologue sur place peut prescrire une mammographie ou une échographie mammaire selon votre âge et vos antécédents.

Penser aux assurances santé internationales

Certaines couvertures santé pour expatriés incluent les examens de dépistage. Vérifiez vos garanties afin d’accéder aux structures privées, souvent bien équipées pour ce type d’examens.

Se rapprocher des réseaux francophones

Les Alliances Françaises, associations locales ou groupes d’expatriés partagent souvent des informations utiles sur les établissements de confiance pour le suivi médical.

Maintenir le lien avec la France

Si vous rentrez régulièrement en France, pensez à profiter de vos séjours pour effectuer vos dépistages. Le programme national français prend en charge une mammographie gratuite tous les deux ans pour les femmes de 50 à 74 ans.

Ne pas négliger l’auto-surveillance

Au-delà des examens médicaux, l’auto-palpation régulière reste un geste simple et efficace pour détecter une éventuelle anomalie entre deux contrôles.

En résumé

Vivre à l’étranger ne doit pas être un frein à la prévention. Entre les dispositifs locaux, les solutions privées, les réseaux francophones et les retours ponctuels en France, chaque femme peut trouver une organisation adaptée à sa situation. L’essentiel reste de rester vigilante, informée et proactive, pour faire de la prévention une priorité, partout dans le monde.

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