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Avez-vous déjà pensé à l’importance de la diversité linguistique et culturelle pour les enfants vivant à l’étranger ? Comment les communautés francophones du monde entier s’organisent-elles pour préserver et transmettre la langue française ? Dans cet épisode spécial du podcast « Rencontre mondiale FLAM », enregistré à Paris en octobre 2024, nous explorons ces questions fascinantes. La rencontre a réuni des acteurs clés du réseau FLAM, qui s’efforcent de maintenir le français comme langue maternelle pour les enfants expatriés. Ces discussions ont mis en lumière les défis et les réussites des associations à travers le monde, qui travaillent sans relâche pour offrir une éducation en français aux jeunes vivant loin de leur pays d’origine.
Anne Henry-Werner, présidente de la fédération FLAM Monde, débute de podcast spécial proposé par La radio des Français dans le monde. Elle explique comment la fédération, créée en 2021, a pour objectif de soutenir les associations FLAM dans leur diversité et leur adaptation aux contextes locaux. Anne souligne l’importance de la collaboration et de la flexibilité pour répondre aux besoins variés des familles francophones réparties sur différents continents. Elle évoque également le rôle essentiel du bénévolat et la nécessité d’une organisation structurée pour garantir le succès de ces initiatives éducatives.
Cet épisode vous propose des témoignages recueillis lors de la rencontre mondiale, abordant des sujets allant de l’inclusion des enfants neurodivergents à la nécessité de nouvelles méthodes pédagogiques. Les participants partagent leurs expériences et échangent des idées pour renforcer le réseau FLAM. Les défis, tels que le burn-out des bénévoles et les menaces de disparition de certaines associations, sont également abordés, tout en célébrant les succès et les innovations qui émergent de cette communauté dynamique. Ce podcast est une invitation à découvrir les efforts collectifs pour maintenir la flamme de la langue française vivante à travers le monde.
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https://flammonde.org/rencontre-mondiale-flam-2024/
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Cette rencontre a été organisée à Paris par la Fédération FLAM Monde avec les fédérations régionales FLAM USA et Parapluie FLAM UK, avec le soutien du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères et de l’AEFE. La radio des Français dans le monde était la radio partenaire de l’événement. Gauthier Seys, fondateur de « Francaisdanslemonde.fr » était l’animateur de ces 3 journées parisiennes. Cliquez ici pour le contacter via whatsapp.
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Podcast n°2308 (Octobre 2024) produit par www.FrancaisDansLeMonde.fr, 1ère plateforme multimédia pour ceux qui se préparent, qui vivent ou qui rentrent de mobilité internationale. Ecoutez nos radios et nos podcasts « Expat » en installant l’application mobile gratuite.
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Liste des invités au micro de La radio des Français dans le monde :
Anne HENRY-WERMER, présidente Fédération FLAM Monde
Elodie BERTAZZOLO-HASWELL, Présidente de La récré du bout du monde (Nouvelle-Zélande)
Chantal CLAIRICIA, Directrice administrative, La petite école d’Ealing (Royaume-Uni)
Christine THERMES, Directrice exécutive, fédération FLAM USA
Bruno ELDIN, MEAE/DGM/DDC – Chef du pôle Enseignement français à l’étranger
Géraldine GEORGET, Présidente Association des Francophones d’Achaie – Flam Patras (Grèce)
Thomas DESOLDT, Président, La petite école d’Ealing, (Royaume-Uni)
Roch MIAMBANZILA, Vice-président du Parapluie FLAM, Président de la Marelle(Royaume-Uni)
Hélèna THUILLIER, Réalisatrice film documentaire “Des mots en héritage, La langue de Molière (Espagne)
Ahmet Kiraz, le cercle français (Turquie)
Gaelle BOURGEAULT, Membre du jury Prix FLAM Monde, Fondatrice de C’est quoi la France (France)
Aurélie DELAHALLE-JACKSON, Présidente Fédération FLAM USA
Thomas MERLANT, président La langue de Molière (Espagne)
Sophie GAVROIS-KARNAVOS, Présidente Parapluie FLAM UK (Royaume-Uni)
Chapitrage de l’épisode :
00:00:03-Présentation de l’épisode et de la présidente
00:01:66-Description de l’acronyme « FLAM » et de ses objectifs
00:03:213-Création et diversité des associations FLAM
00:03:231-Naissance de la Fédération FLAM Monde
00:04:395-Importance des rencontres physiques et des ateliers
00:06:551-Défis et motivations des participants à la rencontre mondiale
00:07:464-Témoignages et inspirations tirés de la rencontre mondiale
00:12:750-Prix Flamme Monde et inclusion d’enfants neurodivergents
00:14:896-Importance de la collaboration et résultats de la rencontre
00:20:1224-Engagement des bénévoles et reconnaissance ministérielle
00:35:2110-Particularités et défis des associations FLAM en Turquie
00:43:2531-Historique et organisation de la Fédération FLAM USA
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Retranscription de l’épisode :
La radio des français dans le monde présente Rencontre mondiale Flammes, le podcast spécial enregistré à Paris en octobre 2020. Quatre bienvenue sur la radio des français dans le monde. Nous allons débuter ensemble un podcast spécial à l’occasion de la rencontre mondiale Flammes. Cette rencontre a lieu à Paris. Je suis avec Mᵐᵉ la présidente de la fédération Flamme Monde, anne van Werner.
Bonjour et bienvenue. Bonjour Gauthier, ravi de te retrouver une fois de plus pour parler de flammes. On s’est beaucoup parlé, on a beaucoup parlé de flammes. La radio défonce est dans le monde des partenaires. Merci pour votre invité, c’est super.
Et puis j’ai eu l’occasion également d’animer cette rencontre. On va replanter le décor puisque c’est le démarrage de ce podcast pour ceux qui ne savent pas encore ce que c’est que cet acronyme Flamme. Alors Flamme, pour ceux qui n’en auraient pas entendu parler encore, ça peut arriver. C’est dommage, c’est dommage et on va rattraper ça. Français langue maternelle.
C’est un acronyme qui a été créé finalement au début des années 2000 pour baptiser une ligne de subvention mise en place par le ministère des affaires étrangères. Et maintenant aussi, donc l’Aefe qui le pilote pour soutenir des associations un petit peu partout dans le monde, qui se donnent pour mission de prodiguer des enseignements français à des enfants français ou francophones qui ne sont pas scolarisés dans les écoles française, donc qui ne parlent le français que dans leur famille, et donc un français qui s’appauvrit au fil du temps, et donc on leur donne la possibilité d’enrichir le français, de le pratiquer en dehors de la famille. Enfin, il y a énormément d’objectifs dans flammes. C’est français langue maternelle, français langue maternelle. Et donc c’est pas l’école, c’est pas l’école, non.
Il peut y avoir des associations, il y en a beaucoup à travers le monde qui ont des méthodes très différentes. Ça peut être le samedi matin, ça peut être le mercredi, ça peut être de façon ludique, ça peut être sous forme de classe. Vous laissez. Cette diversité, c’est notre richesse, cette diversité. Et en fait, en même temps c’est une nécessité aussi, parce que nos enfants, à l’endroit où ils sont dans le monde, ils sont dans un certain contexte culturel, dans un certain contexte scolaire qu’il faut prendre en compte.
Nous n’avons pas tous les mêmes besoins non plus, parce que nous n’avons pas tous, dans les pays où nous vivons, le même accès à la langue française. Nous n’avons pas tous les mêmes enjeux. Par exemple, si je pense aux États Unis, où il peut y avoir un enjeu, notamment au niveau des adolescents, pour ensuite accéder à des universités francophones, c’est une chose qu’on aura un peu moins en Europe en général. Donc en fait, la richesse, ça veut dire aussi, et la diversité, ça veut dire aussi s’adapter. Et donc nous nous adaptons à nos publics.
Et ça, ça prend toutes les formes possibles et imaginables. Et en plus, comme ces structures reposent souvent sur du bénévolat, ça permet aussi de se faire plaisir. Parce que plutôt que d’être obligé de se mettre dans un moule qui est déjà prédéfini, il va falloir les gens qui viennent travailler avec nous ou pour nous, qu’ils soient payés ou qu’ils ne le soient pas, ils ont une grande liberté et ils prennent plaisir à ce qu’ils font parce que justement, ils ont cette liberté. Alors maintenant, il y a beaucoup d’associations à travers le monde. Il a fallu un peu organiser tout ça parce que parfois, il faut avoir un petit peu d’aide avec un peu de subventions, un peu de méthode pour apprendre.
Il faut s’organiser. Et donc, d’où la naissance de la fédération flammonde. Il existe aussi par ailleurs deux autres fédérations qu’on va inviter dans ce podcast et qui vont s’exprimer pour la partie Angleterre Royaume Uni et la partie USA. Et toi, tu es la présidente de la fédération Flamme Monde. Flamme Monde, qui est une toute jeune fédération.
Alors c’est une association aussi. C’est une association loi de 1901. Et en fait, elle n’a été créée officiellement que fin 2021. Et elle n’a pu commencer ses véritables activités opérationnelles telles qu’on les connaît maintenant, que fin 2020 deux, début 2020 trois, grâce justement à un soutien financier du ministère qui nous a permis vraiment de décoller. Cette idée, elle a germé pendant les années Covid.
Finalement, jusqu’à présent, enfin, du moins avant, il y avait effectivement deux fédérations niveau régional, au Royaume Uni et aux États Unis. Et puis pendant la période Covid, on s’est toutes retrouvés un peu le bec dans l’eau ÿ du jour au lendemain, confinement, etc. On a tous dû improviser. Et c’est là que des associations ont commencé à se parler à travers le monde. On a découvert zoom à l’époque, et on avait du temps.
On a commencé à se parler, à confronter nos expériences, nos difficultés. Le cercle est devenu de plus en plus grand. On a commencé à parler avec des politiques aussi, et puis avec la EFE, avec le ministère. Et de fil en aiguille est née l’idée de créer, de fédérer le monde entier, un grand défi et on y est maintenant. On n’a même pas encore finalement deux années d’existence opérationnelle, et on est déjà en rencontre mondiale, donc c’est assez fantastique.
Alors justement, cette rencontre mondiale, on va écouter dans ce podcast, vraiment on va partir dans tous les pays, on va avoir des sujets divers et variés. Donc cette pluralité, on va l’entendre dans le podcast. Cela dit vouloir tous les réunir. J’ai pu le dire au micro pendant l’animation. On a fait beaucoup de choses en virtuel, Ÿousand, pour de vrai, être ensemble, boire un petit coup, un café, passer du temps ensemble et communiquer.
Il y a ce qui se passe dans les salles plénières, dans les ateliers, dans les couloirs. C’est très important aussi qu’on se regroupe. En vrai, c’est franchement essentiel. Enfin, c’est extraordinaire, oui, parce qu’en fait, on est donc en plein dans cette rencontre mondiale avec quatre, 20, trois associations. On a eu également des contacts avec des institutionnels, avec des invités aussi extérieurs, des représentants des français de l’étranger, des parlementaires, etc.
Et c’est absolument extraordinaire de se rencontrer, de se parler. Il y a beaucoup de gens qu’on connaît, des échanges WhatsApp ou de visioconférences que nous faisons, de webinaires, etc. Mais voir des gens, leur parler, parler de leur réalité, entendre également les expériences des uns et des autres, les témoignages autour des tables rondes que nous faisons pendant ces rencontres, ou là, maintenant, pour le moment des ateliers, c’est absolument extraordinaire. Et cette richesse du monde entier, c’est fantastique. Est ce qu’on n’aurait pas vu ce week end à Paris, voir une flamme grandir tous ensemble.
Alors sûrement, sûrement, on va tous se repartir, je sais déjà, avec beaucoup d’inspiration, beaucoup de motivation aussi, parce que bon, tous les thèmes ne sont pas non plus positifs. On a aussi parlé de burn out, d’épuisement, de flammes qui sont menacées de disparition. Il y a des sujets très graves aussi, aussi, qui sont, dont on a parlé. Mais je pense qu’une rencontre comme ça, même si on se sent un petit peu épuisé, seul, il y a eu le mot solitude qui est ressorti très, très fort. Moi, ça m’a frappé quand il est ressorti, ce mot comme ça, là, je pense qu’on va repartir moins seul, avec cette sensation d’être moins seul, et puis alors nous, je veux dire là, moi, je n’arrête pas de prendre des notes parce que sinon, je vais tout oublier.
Il y a tant de gens qui me parlent. Mais nous, au niveau de la fédération, ça nous donne énormément d’idées, de réflexion pour notre travail aussi. Eh bien, allons y, partons à la rencontre de tous les invités qui sont passés au micro de notre studio éphémère installé à l’espace Hamelin à Paris, en ce début octobre 2020. Quatre Mᵐᵉ la présidente, félicitations. Merci pour la fidélité à la radio des français dans le monde.
Ça fait plaisir. Un petit mot aussi pour les équipes qui t’entourent, parce que c’est absolument extraordinaire. Tous ceux qui sont ici peuvent voir le travail qui a été fait là pendant. Pendant un an. Ça fait un an qu’on y travaille, en fait d’arrache pied.
Oui, parce que ça vient des quatre coins du monde. Il y a les hôtels, il faut manger, il faut faire venir les gens. Et puis il fallait faire toutes les structures, tout le matériel qu’on a ici. Enfin, c’est vraiment une organisation. Alors aussi, j’aimerais bien citer nous avons été également accompagnés par une agence événementielle, l’agence Prestagency, qui est ici, dans région parisienne.
Et franchement, sans eux, on n’y serait pas arrivés. Ils ont fait un travail absolument d’accompagnement absolument extraordinaire. Mais notre équipe, enfin, aussi bien au niveau du conseil d’administration que nos chargés de mission, je veux dire là, les dernières semaines ont été d’une intensité absolument incroyable. Et on voit, tout se passe sans anicroche, tout se déroule même sur des. Sujets parfois un peu plus difficiles.
On a eu des sujets difficiles et tout s’est bien passé, dans la bonne humeur. J’ai quelqu’un qui était ici hier, un invité, et qui m’a envoyé un super WhatsApp en me disant que c’était pas seulement l’organisation, mais qu’on sentait aussi toute cette bienveillance de ce réseau, qui était très palpable, cette passion, cet enthousiasme, et que les invités l’ont ressenti. Eh bien, cher auditeur, écoutez maintenant cette passion au micro de la radio de notre studio. Merci, Anne, et à bientôt. À très bientôt.
Rencontre mondiale Flamme à Paris le podcast spécial. Cher auditeur, viens, je t’emmène au bout du monde. Je t’emmène faire la récré du bout du monde. Direction la Nouvelle Zélande. Nous sommes à Hamilton avec Elodie Bertazelo Azuel.
Oh là, on est déjà dans un métissage anglais italien. Bonjour, Elodie. Ça bonjour. Alors papa est italien et ton mari est néo zélandais. C’est ça ?
Et les Maoris aussi. [Sos/Eos]Ousand hey. Les Maoris. Ouais. Comment tu as fait pour le rencontrer ?
Parce que tu sais que c’est de. L’Autre côté de la planète. Ouais. Alors bon, pour faire très court, parce que c’est une longue histoire, mais on s’est rencontrés à Bali, et puis après, moi, je suis voilà, je suis venue en Nouvelle Zélande, puis après, on a déménagé en France, puis après, on est retourné en Nouvelle Zélande. Voilà.
Alors au final, ton cœur bat pour quelle zone. Du monde ? Partout. Pour la France et pour la Nouvelle Zélande. Et la qualité de vie en Nouvelle Zélande.
C’est vrai qu’on a du mal à se projeter depuis Paris aujourd’hui. Zweitausendein de vous voir la tête en bas, là. On a une bonne qualité de vie. On le dit tout le temps. Ouais.
Non, non. Faire grandir des enfants en Nouvelle Zélande, c’est très sympa. Ouais. Ouais. Maintenant, il n’y a pas une grande communauté de français.
Vous êtes une petite association flammes avec une quarantaine d’élèves. C’est ça. Important, cela dit, de leur donner la. Possibilité de parler français, voilà. Parce qu’on est très isolés, on se sent un peu seul par moment.
Et c’est vrai que se réunir tous ensemble, pouvoir parler français, c’est important. Et aujourd’hui, au cours de cette rencontre mondiale, c’est l’occasion de voir d’autres structures. De s’inspirer, de repartir avec des idées. Exactement. C’est prendre les idées un peu partout, essayer de trouver des nouvelles offres, ce qu’on peut offrir à nos familles, des idées, avec des échanges avec d’autres écoles.
On est un peu déçus. On attendait l’Australie sont pas là, mais oui, voilà. Pouvoir créer un réseau, pouvoir échanger avec ceux qui sont à côté de nous. Donc je sais pas, le Japon, l’Australie. Pour pouvoir créer des échanges, voilà.
S’envoyer des lettres, s’envoyer des emails entre. Enfants, ce serait sympa. Alors il n’y a pas de petite association en plus ? Si, vraiment la qualité de vie est là, il y aura de plus en plus de français qui vont venir s’installer. C’est plutôt une tendance à la hausse.
Oui. Et on a pas mal aussi de familles qui arrivent de nouvelle Calédonie et qui viennent s’installer en Nouvelle Zélande. Donc là, on a vu ces derniers mois un grand nombre de familles calédoniennes qui sont venues s’installer. Et oui, on est de plus en plus. Donc.
Ouais. C’est sympa. J’entends la cloche. C’est la récré. Alors direction la récré du bout du monde.
Merci, Elodie. À bientôt. Merci. Vous écoutez la radio des français dans le monde. Je suis avec Chantal Clericia, la petite école du healing.
Nous sommes à Londres, et Chantal a gagné aujourd’hui pour cette rencontre mondiale Flammes le 1ᵉʳ prix Flamme Monde, avec un travail sur la diversité et l’inclusion en action. Chantal, bonjour. Bonjour. Ça a été une grande journée pour toi. Très longue journée, mais vraiment ravie.
Alors c’était une vraie surprise. Le 1ᵉʳ prix. Oui, oui, oui, oui. Franchement, quand j’ai vu que le 2ᵉ prix était londres, je me suis dit, bon, bon, c’est sûr, c’est mort. Mais c’est vrai que je l’avais rêvé.
Je l’ai rêvé, ce prix. Je le voulais et je suis vraiment ravie. Tu l’as rêvé. Flamond l’a fait. Tu as travaillé sur la diversité et l’inclusion en action.
Raconte moi un peu le projet. Pourquoi vous avez travaillé sur ce prix ? Alors le projet, c’est d’inclure les enfants neurodivergents ou les enfants ayant des besoins spécifiques, comme les troubles de l’autisme, le TDAH, et puis d’autres. D’autres troubles. Et vraiment, on voulait.
L’objectif, c’est de pouvoir inclure ces enfants pour qu’ils puissent réussir comme les autres enfants, et vraiment avoir une pédagogie personnalisée, on va dire différenciée, pour vraiment aller. Mieux les intégrer dans notre école. On avance sur ce sujet. Tu es contente de voir qu’on commence. Vraiment à vraiment travailler le domaine ?
Oui, on commence. C’est vrai que les pays anglophones sont plus en avance sur tout ce qui est diversité et aussi handicap invisible. Mais on avance, on avance doucement, on. Fait des progrès et on rend l’handicap invisible visible. Alors un mot sur cette journée aussi, qui a été dense.
On a abordé beaucoup de sujets. J’ai trouvé qu’on avait vraiment aujourd’hui nourri ce réseau avec des vraies idées, des vraies pistes. Ça a avancé, quoi. Ah oui, ça a avancé. Moi, je suis ravie, parce qu’il y avait différents interlocuteurs, différents acteurs.
On a tous essayé de travailler ensemble. Pour un objectif commun, et ça, c’est le plus important. Tu seras triste de quitter Paris ou. Heureuse de retrouver Londres, peut être de mes Paris, j’y suis souvent, je viens souvent à Paris. Donc heureuse de ramener le prix et de montrer à tous nos enseignants, à nos familles, qu’on a tous travaillé ensemble et qu’on a gagné ce prix, parce que c’est vraiment un prix d’équipe, un prix de Ÿousand, et montrer à nos enfants aussi qu’on est là pour eux.
Et j’espère vraiment. L’objectif, le 1ᵉʳ objectif pour moi, c’était d’inspirer d’autres écoles, inspirer d’autres personnes, pour vraiment que eux aussi mettent la diversité. Et l’inclusion en action. Eh bien, on reviendra sur la radio des français dans le monde, avec un podcast complètement dédié sur votre travail dans les prochaines semaines. Merci.
Félicitations. Merci encore et.
Bon week end à Paris. Ÿ installez maintenant l’application français dans le. Monde sur votre mobile, la radio en. Direct et tous nos podcasts partout avec vous. Christine Terme est mon invitée.
La fédération Flamme USA. Alors nous voilà aux Etats Unis. On va beaucoup parler des États Unis dans les prochains jours. Tu es prête à vivre cet événement ? Je manquerai pour rien.
Tu votes pour l’élection française ? Ah, en France. Oui, oui, bien sûr. Au consulat. Et là, tu vas suivre.
Et là, on va suivre. Ouais. On a déjà nos voisins qui se manifestent assez fermement. Ils aiment revendiquer. Alors on va revenir sur le sujet de Flamme, puisqu’on a éclairé les trois fédérations au cours de ce séjour.
Incroyable. C’est quoi, ton 1ᵉʳ bilan de cette journée ? Une très belle journée. Remercie et félicite. J’étais un peu dans le comité avec elle, mais l’association flamonde, c’est un boulot incroyable, tellement professionnel, tellement valorisant pour les associations flammes qu’elles ont fait.
C’est une richesse. On a eu des échanges très, très riches avec nos partenaires aujourd’hui de l’Aefe et le ministère des affaires étrangères. C’était précieux pour nous de pouvoir les rencontrer. Et ils se sont prêtés au jeu. Tout le monde était content d’être là.
C’était constructif. C’était vraiment intéressant. C’était vraiment dans le thème des [sos/eos]. De l’avenir des flammes à l’horizon 2030, et on a abordé des vrais sujets. Absolument.
Il y a des sujets, je pense à la marque Flammes, par exemple. J’ai l’impression qu’il y a quand même. Cette journée qui a fait avancer les choses. Absolument. Oui.
Déjà les derniers échanges, parce qu’on échange vraiment au quotidien avec l’Aefe. Et déjà sur les derniers mois, on sentait une évolution. On sentait. En tout cas aux États Unis, où on connaît très bien nos associations, les gens avaient davantage compris. On comprend cette volonté de nous connaître.
En fait, l’Aefe nous demande de dire qui on est et nous demande de nous connaître pour nous aider. Et on sent qu’il y a vraiment une volonté de nous aider. On est reconnaissants là dessus. Alors c’est vrai qu’il y a des démarches qui sont très, très lourdes pour des bénévoles. Il y a des démarches qui sont presque missions impossibles et qui peuvent décourager certains.
Mais la plupart des associations ont compris et ont avancé et nous, on arrive à une très grande proportion de membres. Qui ont aujourd’hui la marque Flamand. Alors un mot justement sur ces bénévoles, parce que sans les bénévoles, il n’y a pas flamme. Il n’y a pas tout ce travail qui est fait avec des petits groupes d’enfants partout dans le monde. C’est presque émouvant quand on réfléchit finalement.
Ouais. Alors nous, aux États Unis, on a des structures juridiques qui vont être un petit peu différentes. On est dans des structures professionnelles, même si on reste des associations non profites, donc à but non lucratif. On est quand même sur des structures professionnelles où on va avoir des enseignants rémunérés, alors très faiblement, parce qu’il y a toujours cette volonté de maintenir des couches très très bas dans le flam. Mais on a quand même des associations où les choses sont professionnalisées, où on a des enseignants formés.
On forme très, très professionnellement les enseignants. Nous, on propose des dizaines et des dizaines et des centaines, voire des milliers d’heures de formation aux enseignants pour justement proposer une offre de qualité. Donc effectivement, on a des bénévoles qui sont vitaux pour nos associations, mais qui permettent aussi de faire émerger des structures. Plus professionnelles pour répondre à la demande des parents et des familles. Merci beaucoup, Christine.
On embrasse ces bénévoles parce qu’ils font. Absolument merci à eux. C’est eux dont tout part. Merci. Belle soirée.
Merci. Belle soirée. Au revoir. Vous écoutez la radio des français dans le monde. Bruno Eldin a été plusieurs fois sollicité aujourd’hui dans cette rencontre mondiale flammes.
Il est chef du pôle enseignant français à l’étranger au ministère de l’Europe et des Affaires étrangères. Bruno, merci d’être au micro de la radio des français dans le monde. Merci. C’est un plaisir d’être là. Alors, en charge des lycées français et également du réseau Flammes, le réseau Flammes s’est réuni.
Les trois fédérations étaient là. Il y avait beaucoup de questions. Est ce que tu attendais à ce genre de questions ? Et comment tu as vécu cette journée ? Je l’ai vécu très bien.
Tout d’abord parce que c’est une 1ʳᵉ. Ça fait des années que je travaille. Avec les flammes et c’est un rêve que l’on avait depuis longtemps pour pouvoir. Réunir toutes les associations et avancer ensemble. Et là, c’est une étape importante qui est franchie.
La journée a montré que les flammes forment une communauté avec un ensemble de points communs, un engagement très fort de tous ces bénévoles et de toutes ces équipes, et à montrer également que sur un certain nombre de points, on peut encore progresser pour mieux les accompagner, pour mieux comprendre leurs spécificités, Ÿousand et il est de notre mission que de les écouter et que de rechercher avec eux des solutions qui peuvent nous permettre de progresser et surtout de répondre à la demande de ces familles qui cherchent une réponse pour scolariser leurs enfants. Ça va aider le ministère et ses équipes, cette rencontre aujourd’hui. Tout à fait, tout à fait. Parce qu’on a lancé un certain nombre de dispositifs l’année dernière qui étaient nouveaux, une marque flammes. On mesure des limites, on mesure des effets de bord qu’il nous faut corriger.
Et les propositions qui nous seront faites à l’issue de ces trois journées ne peuvent que nous permettre de progresser, de trouver un cadre plus satisfaisant pour tout le monde. Parfois, le monde associatif et le monde politique, institutionnel, a du mal à se rencontrer. J’ai vraiment pas eu cette sensation aujourd’hui. J’ai vraiment eu l’impression que tout le. Monde avait envie de s’écouter, de se comprendre.
C’est important, en tout cas de notre part. On est tout à fait dans la confiance, parce qu’on sait le travail énorme qui sont ÿousand fait par ces associations. On sait qu’il y a plus de 10000 élèves qui bénéficient du travail de ces équipes dans un nombre impressionnant de pays, dans des configurations parfois pas faciles, parce que ce sont des cours qui. Sont donnés en fin de journée, le. Week end, avec des tas de contraintes RH qui sont pas toujours faciles à régler.
Donc il y a un très, très gros engagement, effectivement, il y a une écoute qui me semble être réciproque et puis une volonté commune de progresser. Zweitausendein. On peut dire que ces étincelles sont. Devenues une jolie flamme aujourd’hui. La flamme est à l’honneur depuis quelques mois, et aujourd’hui, elle a particulièrement brillé.
C’est vrai qu’il y a eu la flamme des Jeux olympiques. C’est la référence pour les français, l’étranger. On a tous les mois 3 millions d’auditeurs français qui suivent la radio, des français dans le monde. Il y a eu quand même un avant après Jeux olympiques. On peut être fier d’être français, comme.
De temps en temps, ça fait pas de mal. On peut être fier tout le temps, et on peut être encore plus fier en ce moment. Voilà, entre les Jeux olympiques, entre le. Sommet de la francophonie, qui a permis. Quand même aux francophones de se réunir.
Et de partager leur attachement à la langue et à la culture française, et puis cette dernière étape, qui est la 1ʳᵉ rencontre des associations flammes, c’est une belle série. On va dire Merci d’avoir répondu à nos questions, bon courage pour la suite. J’espère que tous les petits, petits trucs, les petits ajustements, on va les trouver. Non, c’est pas le courage qui me manque. Pas de souci.
Pas d’inquiétude. Merci beaucoup. Excellente réponse. Écoutez les français du monde raconter leurs belles histoires. Les grosses voitures américaines.
Des fois, on en voit même certaines qui sont plaquées or. Il y a la muraille qui a été reconstruite. On peut se balader sans problème. Ça, c’est. C’est magique.
Les Canadiens vont dans des restaurants ou des boulangeries françaises sans aucun problème. Dans le monde FR. Un service gratuit dédié à la mobilité internationale pour accompagner ceux qui s’y préparent, la vivent ou en reviennent. Françaisdanlemonde fr. Avec plus de 2000 interviews que vous pouvez écouter très simplement en version podcast depuis notre site ou via votre appli habituelle, Spotify, Deezer, YouTube.
Et désormais, écoutez la radio lorsque vous surfez sur le petit journal. Com. Le média de référence des français et francophones à l’étranger, présent dans 60 14 villes dans le monde. Allez, on prend la direction de la Grèce avec notre invitée. C’est Géraldine Georget.
Il y a le nom grec aussi. Puisque tu as rencontré ton mari en France. Voilà, c’est ça. Kiprianos. Très bien.
Alors tu étais dans la région du Mans ? Voilà. Qu’est ce qu’il faisait là, ce grec ? Ah non, non. Je l’ai rencontré à Paris pendant mes.
Études, et lui aussi finissait son doctorat. Donc voilà, on s’est rencontrés dans ce cadre là. Et il a fallu choisir entre vivre en France et vivre en Grèce. Voilà. Ça n’a pas été un choix trop difficile.
Pourquoi donc ? Parce que la Grèce est un pays merveilleux. Pas seulement pour les touristes, c’est aussi un pays agréable. Le temps est superbe, il y a des choses à faire. Ÿousand bon, c’est pas forcément un pays qui vit.
Pas une phase facile en ce moment. Et depuis plusieurs années. Mais voilà. Aujourd’hui, tu es présidente de l’association des francophones d’accueil. D’accueil, c’est ça.
On est dans quel coin, là, de la Grèce ? On est dans le Péloponnèse. Et la capitale de l’Acaï, c’est Patras. Voilà. Et alors ?
Des enfants français viennent une fois par semaine, le samedi, deux fois, trois fois. Par semaine, la semaine, la semaine et. Sur d’autres activités, le samedi ou le dimanche. Il y a une forte communauté de français ? Non, ça n’est plus une très forte communauté.
Il y a quand même un nombre de foyers assez important dans la région. Mais les enfants, maintenant, sont moins nombreux. Les enfants ont grandi, sont partis à l’étranger et tout ÿousand. Mais on a encore un petit noyau de francophones, et dont les parents veulent qu’ils apprennent le français, langue maternelle. C’est important, ce réseau flammes.
On l’a vu ce week end. La diversité, cet incroyable réseau à travers le monde. Tu sais que tu apportes, toi, ta pierre à cet édifice ? Voilà. Oui, oui.
Et c’est quelque chose de fascinant. Enfin, moi, je suis fascinée par ce qui s’est passé aujourd’hui, et sans doute demain, et après demain. Zweitausendein. C’est très stimulant. Ça nous donne vraiment du courage, parce que c’est pas une tâche facile.
C’est ce qu’on a dit cet après 12 h. Le cas des enfants flammes sont des cas particuliers. Ils vivent dans un pays où il y a une langue dominante. Il faut essayer de leur faire conserver la langue des parents, les aider à évoluer dans cette langue. Et c’est vraiment un travail qui demande.
Beaucoup, beaucoup de créativité et beaucoup de patience. Mais c’est passionnant. On voit aussi que ce réseau s’organise. Et voilà, ce réseau s’organise, et c’est vraiment merveilleux. On est très contents.
Moi, je suis ravie, parce que je vois que je suis pas toute seule. Enfin, que notre association n’est pas toute seule. On est quand même la seule qui reste en Grèce. Donc on est là. Je suis vraiment contente d’être venue.
Booster. Voilà. Boostée, exactement. Entre il y a 11 ans et aujourd’hui, avec la fédération qui est apparue. Oui, avec la fédération, ça change tout.
Ça change tout. C’est plus facile. Quelque part, on sait qu’on a des correspondants partout, et on peut communiquer, échanger. Et donc enrichir aussi notre façon de transmettre la langue française en tant que langue maternelle. Bon.
Géraldine, j’imagine que la vie en Grèce doit être très agréable, quand même. Dis moi quand même. Qu’est ce qui te manque, de la France, quand tu es là bas.
? Le fromage. Ah ben, je suis très surpris. Je suis pas la.
1ʳᵉ à le dire, j’imagine. Non. Profite de ce week end parisien. Merci beaucoup. Merci à toi.
Au revoir. Au micro de la radio des français dans le monde, un compatriote de la région du nord de la France. Ça fait plaisir. Ah bah oui. Je suis des Hauts de France.
Il faut que je le revendique de temps en temps. Thomas Dezotte. Absolument. Vraiment ? C’est flamand, ça, c’est flamand, il n’y a pas de doute.
Mais qu’est ce que tu fais en Angleterre ? Du coup, j’ai pu profiter du programme Erasmus. Et passer ma dernière année d’études d’école d’ingénieur en Angleterre, où j’ai rencontré ma femme. D’accord. Parce que logiquement, ça dure un an.
Et ben voilà, j’y suis resté un an, et un peu plus, et un peu plus. Ça fait combien de temps ? Ça fait 20, cinq ans que j’y suis maintenant. Et aujourd’hui, tu travailles au sein de l’association la petite école d’Ealing Zweitausendein au cœur de Londres. Cet assaut a raflé un prix.
En plus aujourd’hui, c’était une journée très riche. On ne va pas se mentir, cette rencontre mondiale a fait avancer flammemonde, je pense. Oui. Oui. Ce qui est vraiment, vraiment chouette, c’est de rencontrer tous les autres du monde entier qui ont les mêmes problèmes que nous, les mêmes réalités.
C’est vraiment agréable de pouvoir discuter avec tout le monde et de les voir en vrai. Tu vas repartir avec dans ta valise, des idées. Ouais, des idées, des contacts, des sourires. Et puis voilà des personnes à qui aller demander peut être de l’aide, demander comment ils font. C’est vraiment enrichissant.
C’est se sentir moins seul. Finalement, cette rencontre. Est ce que la France peut te manquer de temps en temps ? Oui. Alors il y a des éléments de la France qui me manquent, je pense.
La manière, par exemple, qu’on a de se rencontrer avec les amis en France, c’est beaucoup. On se rencontre les uns chez les autres, c’est beaucoup plus proche. En fait, en Angleterre, c’est plutôt centré sur aller au pub et puis rentrer chez soi après. Donc ça, ce côté français me manque. Après, l’Angleterre, c’est vraiment un pays sympa et c’est un pays très ouvert, les gens.
Il y a plein d’opportunités et voilà. Et dans ta playlist Spotify, il y a plus de chansons françaises ou de chansons anglaises ? Je garde des chansons françaises aussi. Absolument. Ah il y en a.
Il y en a forcément. J’ai cru que ça allait être pour le coup avec une culture musicale incroyable. J’ai cru que ça allait être l’Angleterre. Bon, les enfants connaissent bien les Beatles, j’imagine. C’est comme le plus grand groupe du monde.
Merci Thomas. Bravo. Tu féliciteras toutes les équipes pour le prix que vous avez raflé. Merci. Et puis bon courage pour la suite.
Super. Merci. Pour moi, la radio des français dans. Le monde, c’est le média pour vivre une expatriation réussie, de liens de bonne humeur et d’infos pour les français de l’étranger. Alors c’est la France où on veut, quand on veut.
Francaisdanslemonde fr direction le Royaume Uni avec Lamarelle, président de Lamarelle et vice président de Parapluie Flammes. On a beaucoup entendu de Parapluie Flammes aujourd’hui. Il s’appelle roch. Miam Basila. Oui, très bien.
Merci. Bonjour, Roch. Bienvenue. Bonjour. Alors, une grande journée pour les Parapluies flammes.
Très grande journée et excellente journée également. On a senti que cette journée avait fait grandir flamme. La flamme a grandi. La flamme a grandi. Donc c’était une journée qui a permis de présenter ce qu’étaient les écoles flammes, puisqu’on a commencé par qu’est ce que c’est que flammes ?
Donc c’était très, très bien. Et ça permet également de mettre les flammes en avant et de voir que même réparties un peu partout dans le monde, elles sont capables de se réunir, de se rassembler et puis de pouvoir profiter et bénéficier des expériences des unes et des autres. Et donc des dizaines d’enfants qui apprennent le français, c’est quand même 40, 5000 enfants, un peu plus, tous les samedis, qui se réunissent pour apprendre le français. Et donc du coup cette sensation, quand même, qu’on fait un travail qui est parfois difficile le samedi. Parfois, on n’a pas forcément zweitausendeinousand envie, mais qui devient extrêmement concret quand même.
Oui, effectivement, puisque du coup, ça permet à ces enfants de conserver un lien avec la langue française et avec la culture française. Et donc eux qui sont dans un. Environnement où ils sont à l’école anglaise, c’est très, très bien. Et à la fois pour les parents, et à la fois pour les enfants. L’Angleterre, ces dernières années, a quitté l’Europe.
Est ce que votre quotidien au Royaume Uni a changé ? Donc là où au niveau des associations flammes, on sent la différence, et au niveau des recrutements, donc on ne recrute plus aussi facilement, par exemple, les filles au père qui pouvaient venir nous aider, maintenant, c’est très compliqué, mais l’enthousiasme à la fois des professeurs, donc des parents, est resté la même. Alors on peut peut être faire un appel. Ÿ il y a peut être des auditeurs qui vivent au Royaume Uni et qui pourraient venir vous rejoindre, vous aider à porter leurs pierres, avec grand plaisir. À ce moment là, il suffit de taper parapluie flammes sur votre moteur de recherche préféré, qu’on ne citera pas, et donc nous contacter et nous ensuite, selon l’endroit où vous vous situez, on peut vous mettre en contact avec des écoles ÿousand des associations flammes.
Tu as un prénom pour faire de la radio. Tu t’appelles rock. Oui. C’est quoi, ton morceau de rock préféré ? Mon morceau de rock préféré ?
Ah bah ouais, c’est quand même pas mal. Du Freddy Mercury. Exactement.
Merci beaucoup d’avoir témoigné. Merci. Et bon week end d’appart. Merci. Bon week end à toi.
Vous vous préparez à vivre la grande. Aventure de la mobilité internationale. Nos podcasts Vivre à. Et profiter de l’expérience des français installés dans les 50 villes les plus appréciées des expatriés. Vivre à l’île Maurice, à Shanghai, à Montréal, à Marrakech.
Le podcast Vivre à. Animé par Olivier Delorme, est à retrouver chaque week end sur votre radio ou depuis le site officiel françaisdanslemonde fr. Podcasts également disponibles sur Deezer, Apple Podcast, YouTube, Spotify. Vivre à le podcast essentiel pour réussir son expatriation. Je vous emmène à Barcelone.
C’est pas désagréable de s’y rendre avec Elena Thuillier qui est mon invitée. Bonjour et bienvenue sur la radio des français dans le monde. Bonjour. Merci de l’accueil. Elena, on a vu au cours de cette rencontre mondiale, Flammes.
On a vu ton film qui s’appelle des mots en héritage. C’est vraiment l’occasion de découvrir. Ÿ découvrir ce qu’est le réseau Flammes et tous ses atouts, toutes ses richesses. C’est un film qui avait pour but. En tout cas, de découvrir l’intérieur des classes et aussi l’envers du décor, qui sont les acteurs des flammes, comment on construit les associations et notre avenir.
Et puis parfois, c’est difficile, parfois on. Manque de ressources, parfois on manque de courage. On a le bénévolat qui fait fatigue un peu. Tu as voulu tout montrer, toutes les facettes dans le reportage. Dans ce film, j’ai voulu être la plus exhaustive possible.
En tout cas, ce qui était difficile. C’Est que j’avais accès qu’à une seule association. Mais je voulais arriver à parler de toutes les associations. Donc voilà, c’était trouver le chemin pour arriver à parler au plus grand nombre de personnes. Héléna, comment les auditeurs de la radio peuvent voir des mots en héritage aujourd’hui ?
Zweitausendein alors pour le moment, il n’est pas encore disponible parce qu’il est parti en festival. Et puis j’attends de voir s’il n’y. A pas une possibilité pour pouvoir organiser des projections justement dans les villes où il y a des associations. Mais dans le futur, je pense qu’il sera disponible à la demande. Si des associations partout dans le monde entendent cette interview, ils peuvent te contacter complètement pour pouvoir projeter le futur.
Projection. Voilà, à un petit prix associatif. Et bien le lien pour. Pour pouvoir te contacter est disponible dans ce podcast. Merci à toi, félicitations pour le travail.
Mais de rien, avec plaisir. Je t’ai un peu taquiné hier au. Micro parce que le reportage nous emmène à Barcelone, qui était le jour où t’as filmé sous un ciel gris. Quel bonheur, complètement entre l’automne, l’hiver et l’été. Quel bonheur de voir cette ville de.
Temps en temps sous la pluie, parce. Que c’est quand même rare. C’est vrai que la vie à Barcelone est plutôt agréable. Ah oui, complètement, je suis d’accord. Merci beaucoup et félicitations.
Bienvenue sur la radio des français dans le monde. Au micro de la radio des français dans le monde, Ahmed Kiraz, le cercle français en Turquie. On t’a entendu, Ahmed, tout à l’heure prendre la parole pendant cette convention flamme. On peut considérer que cette aventure flamme, elle est plurielle. Chacun a ses soucis.
Toi tu as clairement évoqué les tiens. Ça t’a fait plaisir de pouvoir prendre le micro ? Oui. Bonjour. Oui, ça m’a fait plaisir de prendre le micro parce que nous rencontrons, nous sommes confrontés à des problèmes de notre ordre, je vais pas dire lesquels tout de suite, et donc d’en parler, d’échanger, c’est toujours important et ça nous aide.
Et clairement, être venu aujourd’hui, tu as la sensation profonde que les choses vont avancer ? Oui, oui, j’ai la sensation profonde que les choses avançaient. Puisqu’on fait part des problèmes qu’on rencontre, on profite des expériences des autres, des solutions des autres. Donc tout ça, ça nous aidera à trouver des solutions, peut être à faire des propositions. Et aujourd’hui, sur le sujet précisément de la Turquie, on a parlé du rôle des associations, les politiques de chaque pays qui peuvent varier.
C’est difficile d’harmoniser tout un réseau alors que chacun a ses propres problèmes. C’est difficile. Il faut prendre les cas individuellement. En Turquie, certes, nous avons des associations, plusieurs associations. Il y a des très vieilles associations créées en 1804, 20 10, l’Union française par exemple, qui existe, qui organise des activités ludiques pour les enfants, etc.
Mais le besoin d’une association ÿ flammes, comme le cercle français, était patent. Et on a ressenti ces besoins là, puisque ces dernières années, ces 10 dernières années, beaucoup de couples franco turcs, de jeunes couples franco turcs sont allés s’installer en Turquie. La situation économique qui était fleurissante au début des années 2000 et 2010. [sos/eos] on est pour quelque chose. Et donc on a beaucoup de petits franco turcs qui vivent dans différentes villes d’Anatolie.
Et c’est important de leur transmettre le français aujourd’hui. Effectivement, parce que nous avons deux écoles françaises en Turquie, à Istanbul et Ankara. Et la Turquie c’est un grand pays. Et ailleurs il y a. Il n’y a pas d’école française.
Donc on a des enfants à Bodrum, en Ÿousand, pour ne citer que les villes connues, à Izmir, etc. Où il n’y a pas d’école française. Ses enfants sont scolarisés dans le système éducatif turc et il n’y a que les parents qui sont là pour leur inculquer le français. Et ce n’est pas suffisant. Donc les flammes c’est nécessaire et il fallait agir.
Et ben voilà, en tout cas, ta parole a été entendue aujourd’hui. Merci Ahmed pour ton témoignage et bon week end à Paris. Merci à vous. Merci et puis au revoir. Mettons en lumière les partenaires de cet événement.
En l’occurrence, on va s’intéresser à ce trophée flammes qui a été remis aujourd’hui. Trois trophées qui ont été offerts. Et bien dans le jury, il y avait Gaëlle Bourgeaud. Gaëlle, bonjour. Tu es inhabitué au micro de la radio des français dans le monde, j’aime venir.
Il faut dire que la dernière fois c’est toi qui gagnais un prix. C’est tout à fait ça. En 2020, trois, j’ai gagné le trophée éducation des français de l’étranger avec le petit journal Comed. Et aujourd’hui, c’est toi qui était dans. Le jury pour remettre des prix.
Alors on avait vécu une journée assez dense. On a beaucoup parlé de toutes ces associations à travers le monde. T’as appris des choses aujourd’hui ? J’ai pas appris, mais j’ai vu. J’ai vu des individus super impliqués, des bénévoles.
Je discute juste avant. Il faut parler des bénévoles avec l’un d’eux, bénévole depuis plus de 15 ans, qui passe tous ces samedis matins dans une petite école. Moi ça m’impressionne que tous ces parents. Parce que c’est des parents qui ont un besoin à un moment, s’impliquent dans ces petites écoles flammes pour enseigner le. Français, la culture française, et que leurs enfants ÿousand gardent leurs racines.
En tant que juré, tu as vu des projets quand tu voyais les films, tu disais ils ont quand même des idées incroyables. Oui, de belles idées, des idées qui. Sont duplicables j’en parlais avec le grand gagnant. Et c’est tout l’intérêt, c’est que c’est. Des beaux projets qui vont pouvoir s’étendre et se développer dans d’autres écoles et dans d’autres continents.
C’est quoi la France poursuit son développement aujourd’hui. Tu t’adresses spécifiquement justement aux écoles ? Tout à fait. C’est quoi, la France ? Notre plateforme de ressources pédagogiques sur la.
Culture française permet aux enseignants de travailler, d’enseigner le français et la culture française aux enfants de six à 11 ans. C’est des ressources clés en main qui. Leur facilitent la vie. Est ce que tu penses que la. Réponse à la question c’est quoi la France ?
Est différente entre avant les jeux olympiques et après les jeux olympiques ? Non. Après, c’est l’image de la France qui. A peut être changé. Ça a peut être fait du bien, quand même.
C’est sûr, on a une vision beaucoup plus positive de la France. Mais la culture française, elle n’a pas changé. Et est ce qu’on arrive encore à te coller avec des expressions que tu ne maîtrises pas dans la langue française ? Tu vas essayer. Laquelle te surprend le plus dans cette langue française ?
Moi, j’aime bien l’expression rire jaune. Ah ouais ? Alors ça vient d’où ? Ce n’est pas une blague raciste, mais ça a une origine. Ça a une origine avec le citron.
Je me souviens pas vraiment de l’explication, mais je crois que quand tu ingères du citron, tu fais un peu la. On apprendra ça prochainement. Ce sera prochainement sur la plateforme c’est quoi, la France ? Ça marche. Gaëlle, merci.
Merci d’avoir été juré et merci pour cette aventure. Ça devait être assez sympa à découvrir en coulisse tout ce qui s’est passé pour Flammon. La radio des français dans le monde, le média à destination des 3 millions de français expatriés dans le monde. Prenons la direction des États Unis. Alors on dit souvent sur la radio des français dans le monde, les USa.
En vrai, Aurélie, que je vais vous présenter dans un instant. Les usa, c’est tellement grand. Ça veut un peu rien dire, finalement. Les usa, quand on est ici, en France. Eh ben oui, les Usa, c’est très grand.
Et les Usa. [Sos/eos], des états qui ont leurs spécificités, leurs particularités. C’est vrai que d’une côte à l’autre, les gens fonctionnent assez différemment. Et ça se ressent dans nos flammes, aussi dans nos fonctionnements. C’est comme nous.
L’Europe, c’est très différent entre la Suède et la France. Aurélie Delahalle Jackson, tu es la présidente de la fédération flammes USA. Alors trois fédérations à travers le monde, la fédération Flamme Monde, la fédération parapluie flammes uk et vous. Un petit mot sur l’historique et sur votre rôle ? Bien sûr.
Donc, avant que la fédération Flamme Uss soit créée officiellement avec des statuts, il y avait déjà eu des rencontres qui s’étaient faites entre les différentes associations, en 2015, en 2016, à Washington, à Philadelphie, qui avait déjà créé comme ça des envies de mutualisation, de se fédérer, de faire des choses ensemble. Et en 2010 huit, donc lors du colloque à Miami, c’est vraiment en fait confirmé cette idée de créer une fédération. Et du coup, voilà, il y a eu depuis 2010 huit, cette fédération qui s’est. Qui s’est créée avec donc des membres du V. Et qui sont là donc pour soutenir les associations flam qui sont membres du réseau à travers différents services que nous offrons.
Et combien d’associations sont regroupées sous cette fédération ? Aujourd’hui, c’est 14. Donc voilà, toutes aux États Unis ne sont pas fédérées pour différentes raisons. Certaines sont en train de se créer, nous ont contacté pour que nous puissions les aider dans ces 1ᵉʳˢ questionnements qu’elles ont sur la création des statuts, sur comment on [sos/eos] on recrute des enseignants, tout ça. Donc on accompagne ces nouvelles associations aussi qui se créent.
On a vécu des rencontres mondiales assez incroyables. C’est quoi un peu ton ressenti sur ce qui a pu être dit ? Et peut être est ce que la cause flamme n’a pas avancé ce week end ? Clairement, clairement, elle a avancé. Je pense qu’on reprend un petit peu de souffle, on se remobilise.
L’humain, de toute façon, a sa place. C’est indéniable qu’il est important de se rencontrer. Nous, au niveau des États Unis, on l’a compris depuis très longtemps. Comme je vous le disais, il y a eu des rencontres avant qu’il y ait officiellement une fédération, et à chaque fois, ça redonne un souffle. En 2020, deux, il y a eu le colloque à Houston de la fédération Flam où à cette époque, j’étais directrice de l’association de Miami, et à cette époque, j’étais fatiguée, en fait, en tant que directrice, et je suis arrivée, et après trois jours de rencontre, je suis repartie à Miami, regonflée, voilà.
J’ai quand même quitté mes fonctions depuis. Mais ces rencontres, elles sont essentielles. Et aujourd’hui, on le voit encore, je pense, entre hier, qui était la 1ʳᵉ journée très institutionnelle qui pose un cadre avec le ministère, avec la Fe. Et aujourd’hui, on est vraiment entre nous et on parle un peu à bâton rompu. Il n’y a plus ce côté institutionnel.
Il y a des choses très belles qui se passent. Et je pense qu’il y a plein de femmes qui vont repartir dans leur pays, motivées, avoir des envies de projets, des envies de collaboration et de se fédérer. Et ma dernière question, Aurélie, tu retournes où ? Aux USA. Du coup, quelle est ta ville d’expatriation ?
Alors moi, c’est. Je dis Miami pour que les gens situent sur la carte plus facilement. Donc en Floride. Mais je suis la ville juste au dessus Hollywood. Mais c’est pas Hollywood Californie, c’est Hollywood Florida.
Ah. Il y a deux Hollywood aux États Unis. Yes. Et voilà. Donc on y est bien.
Ça fait 10 ans que j’y suis. Et même si la météo est passée par là cette semaine, il y a des avantages et des inconvénients où on vit et il faut trouver son bonheur où on est. Donc voilà. Merci beaucoup. Au plaisir de te retrouver.
Avec grand plaisir. Merci. Chaque jour à 0 h et à 12 h, heure. De Paris, zweitausendeinundzwanzig écoutez. La seule émission qui relie les expats, les français parlent au français, animé par Gauthier.
Retrouvez des parcours de vie, des français qui parcourent le monde avec leur sac à dos, des experts de la mobilité internationale et tous vos rendez vous habituels. Les français parlent français. Retrouvez toutes les interviews en podcast sur notre site et sur toutes les plateformes habituelles. Les français parlent au français, parrainé par Agora Expat. Agora Expat est le courtier référent de la communauté française expatriée.
Plus d’infos sur agoraexpat. Com. Il s’appelle Thomas Merlan, avec un d, sinon je me fais rouspéter. C’est important, c’est ça ? C’est ça.
Surtout que le t ou le d, c’est comme du pont, du pont, on sait jamais. Ouais, ouais. Non mais sinon c’est pas pour moi, mais c’est surtout pour mon père, parce que s’il voit ça, il vient te casser la gueule. Alors tu représente la langue de Molière. L’association Flammes de Barcelone.
Un petit mot sur toute la zone ibérique. Vous êtes quand même très actif et beaucoup de français qui vivent là bas. Ouais. Barcelone a une très grosse communauté française. Et donc en fait, comment ça se passe ?
Ça se passe que moi, j’ai fait des enfants à Barcelone. J’ai cherché pour eux des cours de français adaptés à des enfants francophones. J’ai pas trouvé et donc j’ai dit on va le faire. Et donc on s’est regroupés entre plusieurs parents qui avaient la même idée, et on a commencé en 2010 sept, avec deux enfants, ma guitare et moi. Et nous voilà, on est 200 aujourd’hui.
Ça a bien grandi. On te voit dans le film des mots en héritage. Tu aimes bien les comptines, toi ? C’est ton truc ? Tu t’endors le soir en écoutant des comptines ?
Plus maintenant. Mais par contre, j’ai tout le répertoire. Si tu veux, je te fais un pirouette cacahuète quand tu veux. Allez, un petit pirouette cacahuète. Trois, deux.
C’est bien pour apprendre le français, les comptines. Exactement. En fait, même, on a basé notre. Une méthode d’apprentissage de la lecture avec des faits qui. C’est un peu comme les alpha et les bêta.
C’est à dire qu’on utilise les faits avec les sons, les phonèmes du français. Et à chacun est adapté une comptine qui va avec. Donc on travaille vraiment l’idée ludique, pédagogique et culturelle. Et parce que les enfants, ils apprennent pas les comptines ? Si, on les a appris à l’école, nous, souvent.
Alors justement, jouons à apprendre le français. On va faire un petit zoom sur un jeu pédagogique coopératif qui vient de sortir, qui s’appelle Bande de monstres. Tu es très fier de l’avoir sorti de ton sac, de l’avoir montré. Raconte nous un petit peu. Alors l’histoire de Bande de monstres, c’est que depuis le début, on fait des.
On invente des jeux pour apprendre aux enfants le français. Zweitausendeinundzwanzig. Beaucoup sur les conjugaisons, avec beaucoup de cartes. On a eu un projet subventionné par la F pour faire vraiment un jeu de société avec les enfants sur le thème des bêtises. Donc les enfants ont écrit les bêtises et en fait, on conjugue des bêtises plutôt que de conjuguer des phrases de bateau.
Et du coup, les enfants s’éclatent, ils sont en coopération contre le prof. Et enfin, le prof joue. Et ça, c’est assez génial, parce que d’habitude, on fait des jeux, c’est les enfants qui jouent et le prof est un peu arbitre. Et là, le prof joue. Alors ça peut être une bonne idée pour les associations flammes qui nous écoutent d’avoir le jeu pour.
Pour faire des ateliers le mercredi. Exactement. Donc là, demain, nous présentons le jeu en salle plénière et nous allons poser la question. Est ce que les associations flammes sont intéressées ? Et peut être qu’on pourrait faire un financement participatif pour que toutes puisses en avoir un.
Merci beaucoup, Thomas. Tu embrasseras ton papa et tu lui diras que je n’ai pas oublié le d. Bravo. Merci. Vous écoutez la radio des français dans le monde.
C’est le podcast spécial rencontre mondiale flamme. C’était à Paris, c’était un bel événement. Et on va débriefer ce moment avec Sophie Gavroy Carnavos. Ça, c’est grec. Ça, c’est grec.
Non, mais tu me l’as dit avant. Je suis tricheur. Tu es la présidente de la fédération parapluie flammes UK. Alors on en a parlé pendant ces rencontres. Trois fédérations États Unis, monde et UK.
Beaucoup de français sur le Royaume Uni. Beaucoup de français sur le Royaume Uni, oui. Londres, c’est 1/2 pari. Je ne sais pas combien on est, mais on est vraiment très nombreux. Et donc beaucoup d’assos à coordonner, à aider à accompagner Zweitausendein.
Oui, surtout à aider à soutenir, accompagner et leur fournir des. Fournir des formations pour leurs profs, pour leur comité. Et puis aussi ont fourni des spectacles pour que la culture. Pour que les enfants. Pour que la culture aille v.
Les enfants. Et que les enfants aient des émotions positives liées avec le français. Que ce ne soit pas seulement des cours de conju et des cours de rendre la chose un peu ludique. Rendre la chose ludique et puis leur faire vivre des émotions fortes et positives qui font que. Ah oui, j’aimais bien le samedi.
En parlant d’émotions fortes et positives, j’ai l’impression que ça pourrait presque être un peu le bilan de cette rencontre, puisqu’on conclut le podcast ensemble. On a beaucoup parlé de tous les. Sujets, facilement, avec le sourire, avec gravité, parfois aussi parce que. Avec des larmes, parfois des larmes. Tout n’est pas toujours simple dans le monde associatif avec les bénévoles.
La fatigue, les subventions, l’arrêt des subventions. Enfin, on sait que la vie n’est pas un long fleuve tranquille quand on est dans un réseau flammes. Ouais, tout à fait. On a quand même commencé sur des choses graves. Il y a eu pas mal d’émotions sur la 1ʳᵉ journée et puis sur la matinée du samedi où il y a des choses qui sont ÿousand un petit peu triste.
On a vu que beaucoup de bénévoles se sentaient seuls, se sentaient isolés et un peu usés. On a vu quand même qu’il y avait des gens qui étaient assez motivés pour rester plus de 10 ans ou 10 ans et plus dans leur dans leur association. Donc il y a quand même des. Oui, des points positifs. Et puis je pense que les gens ont trouvé ici une superbe synergie, se sont rendu compte qu’ils n’étaient pas seuls.
Dans leur solitude, qui n’étaient pas seuls dans leur galère. Et je pense que c’est vraiment un. Ÿousand un des grands points positifs de cette rencontre, c’est que finalement c’est dur, mais on n’est pas seul. Et je pense qu’ils ont trouvé des gens avec qui partager et peut être trouver des solutions. Alors ces assos ont quand même une belle mission de porter la langue française.
Ce n’est pas une mince affaire. C’est vrai que parfois le terme de. L’Usure. Est apparu parce que mener à bien, avec des problèmes de financement, des problèmes de salle pour se réunir, etc. Des petits détails, mais mis bout à bout, il faut quand même du courage pour y aller.
Oui bah oui, il faut plus du courage, il faut. Je crois que. Et de la passion, je pense. C’est surtout de la passion. Et puis cette envie de transmettre en fait cette envie de transmettre cette culture ou ces cultures francophones et puis d’équiper nos enfants d’une double richesse ou d’une triple richesse.
Ils ont trois langues ou même plus, mais effectivement il faut. Il faut marier cette passion, il faut marier. Parfois voilà des difficultés. Et puis il faut aussi savoir justement s’organiser en fédération ou se tourner v. Des fédérations et puis aller à la pêche aux tuyaux, aux infos, aux expériences déjà vécues.
Et là il y a eu des ateliers où on s’est rendu compte qu’elle. Des idées auxquelles on n’avait pas ÿousand penser et voilà. Des fois c’est difficile, mais finalement il y a peut être quelqu’un dans le réseau qui a vécu la même difficulté juste avant nous et qui aura trouvé des solutions ou aura trouvé des partenaires sur place. Enfin, il y avait vraiment plein d’échanges de tuyaux et d’idées, de stratégies. Le Royaume Uni, c’est quand même le berceau d’une pop culture qui a irradié le monde.
Cela dit, la France s’est pas trop mal débrouillée ces derniers temps en électro pop. Il y a eu l’électro pop, la french touch, les jeux olympiques qui ont marqué quand même. Sans doute que les enfants ont dû suivre un peu ce qui a pu se passer en France à ce moment là. Les assos flament aussi. Tout ça c’est quand même des fiertés françaises.
Même quand t’es là bas en Angleterre, tu penses souvent à la France et à ses belles valeurs, de notre culture. Oui, tout à fait. J’arrête pas de dire tout à fait. Les enfants, souvent les enfants flammes ont deux équipes. Soit c’est du rugby, soit du foot, mais il y aura toujours une équipe locale et l’équipe de France ou une équipe comme le PSG ou Marseille.
Donc oui, oui. Les jeux olympiques, vraiment, il y a eu un engouement aussi au Royaume Uni. Les gens ont suivi. C’était quand même assez différent cette année. Donc c’était chouette de voir Paris tout le temps dans toutes les épreuves.
Donc ça, ça a été très riche. Et il y a pas mal de nos élèves flammes qui ont suivi. Et on a fait des activités autour des Jeux olympiques aussi. Donc on a essayé de maintenir aussi cet engouement. Alors il y avait une flamme des Jeux olympiques, il y a ce week end flamme qui se termine.
Finalement, on a une conclusion qui est plutôt happy de ce qui s’est passé. Ah ouais, totalement, totalement happy. Une superbe organisation. Caroline, qui. Qui est la grande prêtresse.
La grande prêtresse de cet événement et qui est vraiment très, très bien organisée. Donc déjà, rien que le fait que tout se passe bien, qu’on se trouve dans des super lieux. Et que. Et qu’on se perde pas dans Paris et qu’on est tout fourni, ça c’était très, très bien. Et puis le fait de rencontrer autant de.
De configuration différentes, parce que ça venait de quatre, 20 pays. Différents pays. Donc la logistique aussi pour. Pour qu’ils viennent, pour qu’ils dorment, pour qu’ils mangent, c’était fantastique. Et puis voilà, c’est le fait aussi de trouver des ressources, de.
Et des. Comme je l’ai dit tout à l’heure, des partages, des partages de projets. Ça c’est vraiment très positif. Aussi. Le fait de repartir en se disant.
Ben en fait, je vais travailler avec tel, tel continent et on va. On va travailler sur un projet auquel on n’avait pas pensé du tout avant de venir. Ça aussi c’est. On se sentait seul et déprimé un peu et un peu fatigué avant. Mais on repart avec une petite valise de projet.
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