« Mon Chasseur IMMO » : L’innovation immobilière par Frederic Bourelly

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Vous êtes-vous déjà demandé comment simplifier l’achat d’un bien immobilier, surtout lorsque vous êtes à l’étranger? Dans cet épisode de « 10 minutes, le podcast des Français dans le monde » réalisé en partenariat avec Expat Pro, Gauthier Seys s’entretient avec Frederic Bourelly, fondateur de « Mon Chasseur Immo », pour découvrir une nouvelle approche innovante de l’immobilier qui pourrait bien révolutionner votre manière d’acheter une maison.

Frederic Bourelly, originaire de Montpellier, a eu un parcours professionnel riche et varié. Après des études de commerce à Montpellier et à Angers, il a passé deux ans en Australie où il a travaillé pour l’équipage de French Kiss durant l’America’s Cup. De retour en France, il a évolué dans différents secteurs avant de créer sa propre entreprise en 2015. Aujourd’hui, il dirige Mon Chasseur Immo, une société qui compte 30 salariés et plus de 170 chasseurs immobiliers.

L’épisode se concentre sur le concept novateur de Mon Chasseur Immo, qui propose un service 100% dédié aux acheteurs de biens immobiliers. Frédéric explique comment son entreprise utilise des outils digitaux pour simplifier le processus d’achat, en offrant une solution complète qui inclut la recherche, la sélection et la négociation des biens. Ce modèle, inspiré des États-Unis, vise à éliminer les conflits d’intérêts en ayant des agents dédiés uniquement aux acheteurs, rendant ainsi l’achat immobilier plus sûr, plus efficace et moins chronophage.

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https://www.monchasseurimmo.com/

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Podcast n°2276 (Septembre 2024) produit par www.FrancaisDansLeMonde.fr, 1ère plateforme multimédia pour ceux qui se préparent, qui vivent ou qui rentrent de mobilité internationale. Ecoutez nos radios et nos podcasts « Expat » en installant l’application mobile gratuite.

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Chapitrage de l’épisode :

00:00:01-Introduction et Présentation de l’invité 00:00:32-Frédéric parle de son parcours académique
00:00:49-Expérience de stage en Australie
00:01:39-Retour en France et parcours diversifié
00:03:00-Genèse de l’idée de Mon Chasseur IMO
00:03:50-Différence entre agent immobilier traditionnel et chasseur immobilier
00:05:30-Adaptation du modèle américain au marché français
00:07:00-Mise en œuvre du service digital pour faciliter l’acquisition
00:08:30-Suivi de l’agent par l’application
00:09:50-Coûts et avantages pour l’acheteur
00:10:50-Réussite de Mon Chasseur IMO et témoignages
00:11:00-Clôture et remerciements
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Transcription de l’épisode :

Voici 10 minutes, le podcast des Français dans le Monde. Pour aider tous ceux qui se préparent, qui vivent ou qui rentrent de mobilité internationale, je suis Gautier Saïs et j’ai le plaisir de passer 10 minutes avec Frédéric Bourrelli. On va parler de mon chasseur immo. Direction l’Occitanie pour retrouver notre invité. Il est né et vit aujourd’hui à Montpellier, mais il a fait un petit passage à l’international.
Bonjour Frédéric ! Bonjour Gauthier, ravi de ce moment d’échange. Eh bien merci aussi aux équipes de Expat Pro qui nous a mis en relation et qui nous permet d’échanger aujourd’hui. On va parler de mon chasseur IMO dans un instant. Mais un mot d’abord, toi sur ton parcours, tu fais tes études à Montpellier et à Angers.
Et puis un stage de fin d’études, alors tu ne choisis pas le stage ni le plus court, ni le plus près, puisque tu pars deux ans en Australie. T’avais quel âge quand t’as connu cette expérience ? J’avais 24 ans, j’ai terminé mon école de commerce et donc j’avais choisi de partir effectivement en stage parce que j’avais la possibilité de prolonger un stage que j’avais déjà démarré au préalable sur la France et donc nous équipions l’équipage de French Kiss pour l’America’s Cup en Australie pendant la compétition. Deux combinaisons particulièrement performantes et donc j’avais à suivre l’événement et à le marketer pour ensuite mettre sur le marché des produits. qui était concerné.
C’est un stage pas mal finalement. C’est un stage très sympathique d’autant que je l’ai prolongé puisque j’ai eu ensuite un contrat qui m’a permis de rester un peu plus longtemps pour pouvoir développer tout un tas d’outils, de contenus, de relations commerciales également pour amplifier la vente ensuite derrière des produits, des vêtements, des combinaisons en fait, que portaient les équipiers de French Kiss pendant l’America’s Cup. Frédéric, c’est quand même rare que quelqu’un qui est connu une aventure à l’international rentre ensuite en France et fasse tout son parcours en France sans y retourner. Tu n’as pas eu cette envie de finalement t’établir à l’étranger ? J’avais une envie pressante de démarrer une activité professionnelle.
en France. Pourquoi ? Parce que j’adore ce pays. Puis en voyageant aussi, on se rend compte des avantages qu’il procure. Et donc voilà, j’avais tiré de grands renseignements et j’avais envie de les mettre à profit en France et dans des domaines surtout variés, puisque j’ai un parcours assez varié avant de créer ma société.
J’ai évolué dans le domaine de la finance, dans le domaine des réseaux de franchise, dans le digital, donc dans l’édition logicielle en particulier, et puis dans l’immobilier.
Il y a énormément de choix à ces moments-là, on peut bifurquer un petit peu comme on le souhaite, ça offre une grande variété. J’ai opté pour une carrière plutôt en France à ce moment-là. J’ai conduit quelques missions occasionnelles sur l’international, mais pour le compte de société basé en France. En 2015, il va y avoir une révélation autour du sujet de l’immobilier. On en parlait, puisqu’en effet, notre pays a une vieille habitude, une vieille coutume, c’est qu’il y a des agents immobiliers qui sont des vendeurs de biens.
que l’on contacte lorsqu’on repère un bien qui nous intéresse. Mais finalement, on est toujours du côté de l’acheteur qui propose. Toi, tu as fait ce constat, notamment aux Etats-Unis, que celui qui voulait acheter un bien, aujourd’hui, il n’avait pas son chasseur IMO. Et donc tu l’as créé, la marque est née, et vous êtes aujourd’hui 30 salariés avec plus de 170 chasseurs. C’est une autre façon de voir l’immobilier ?
Alors oui, c’est une toute autre façon, d’autant que le job d’un chasseur immobilier ou d’un buyer agent, c’est le nom qu’on leur donne aux États-Unis, c’est des agents d’acheteurs, est complètement différent versus le job d’un agent immobilier, d’un vendeur, d’un négociateur de biens immobiliers. Très différent, mais je vais développer ce point-là. En fait, tout est parti du constat qui est de dire, finalement, qu’est-ce qui est le plus compliqué ? de bien vendre un bien immobilier ou de bien acheter un bien immobilier. Quand on pose la question, quand je la pose autour de moi, on me dit généralement, soit on me dit les deux sont difficiles, soit on me dit non, c’est peut-être quand même de bien acheter.
Et pourtant, toute la profession est tournée vers les vendeurs au travers d’un mandatant. et tous les honoraires qui sont générés autour de ça sont tournés également vers le vendeur et l’acheteur. Alors qu’il a une réelle complexité quand il achète un véhicule, il faut déterminer les bons critères, le bon budget, monter le bon financement, valoriser des travaux qu’on va réaliser, il va falloir sélectionner des biens, avoir une multitude d’interlocuteurs, visiter, négocier, bref, une vraie complexité des interlocuteurs multiples. Et lui, n’a pas d’interlocuteur et de solution unique pour acheter dans les meilleures conditions en fonction d’un casier des charges qu’il a déterminé au départ. C’était ça au départ le constat, c’est-à-dire qu’il fallait faire quelque chose.
Et effectivement aux Etats-Unis, la particularité qu’ont les Etats-Unis, c’est qu’il y a quasiment systématiquement sur chaque transaction à la fois l’agent de l’acheteur et l’agent du vendeur. Chacun défend les intérêts de son client. Chacun réalise la mission adaptée à son client. Et il n’y a absolument aucun conflit d’intérêts puisque chacun a son client. Voilà.
Et donc c’est ça, en gros, que j’ai voulu commencer à changer et à impulser sur le marché français en créant un service 100% dédié à l’acquéreur pour lui permettre d’acheter de la façon la plus simple, la plus sûre et la plus efficace. Alors on comprend bien l’idée et c’est tellement logique qu’on se demande pourquoi il a fallu que mon chasseur IMO soit inventé pour que ça existe. Et ben voilà, ça c’est parfois le bon choix du dirigeant. Résultat, vous allez sur le site internet, vous organisez un rendez-vous et là vous allez écrire une lettre de mission avec justement tous les critères du bien, l’enveloppe budgétaire, on se met d’accord avant que ça commence avec le chasseur. C’est ça, exactement.
Donc, tout commence par le site Internet, par une mise en relation avec le chasseur immobilier dans la région concernée le plus adapté aux critères de recherche de l’acquéreur. C’est parce que ça, c’est essentiel, la bonne mise en relation. Et puis ensuite, derrière, effectivement, on contractualise au travers de ce qu’on appelle une lettre de mission ou un mandat de vente. Et à ce moment-là, on a défini les critères de recherche, on a défini l’enveloppe budgétaire. et le chasseur immobilier va pouvoir réellement démarrer la mission et commencer à sourcer tous les biens disponibles sur le marché afin de ne proposer que les meilleures sélections et au final de visiter le minimum de biens pour faire gagner du temps à l’acheteur.
Une chose essentielle, en fait, c’est que quand on a créé cette société, on l’a créée en implémentant des solutions digitales au maximum dans ce métier, c’est-à-dire à la fois pour rechercher, qualifier les biens disponibles sur le marché et pour gérer aussi les relations, les interactions entre le chasseur immobilier et l’acheteur du bien. de façon à simplifier et à faire gagner le maximum de temps. On a un service qu’on appelle un peu physital, c’est-à-dire qui mélange à la fois le physique et le digital, comme souvent dans les services aujourd’hui. Et ça, c’était essentiel. Donc, on a des outils digitaux très développés pour simplifier à la fois l’achat pour l’acheteur et le travail du chasseur pour lui faire gagner du temps.
C’est justement ce que j’allais dire, parce que l’agent travaille, mais la personne qui a passé ce contrat a envie de savoir un peu quel boulot il a fait, qu’est-ce qu’il a trouvé comme bien, etc. Donc en gros, avec une application, le client peut suivre son agent. Le travail de son agent peut faire des espèces de visites virtuelles. C’est plus ciblé, c’est plus efficace finalement. C’est ça exactement.
Il y aura à l’intérieur de cette application l’ensemble des documents, le détail de ces critères de recherche, les interactions, les fils d’échange qu’ils vont avoir sur les biens et puis la visualisation surtout de ces biens qui seront extrêmement enrichis d’informations sur le plan géographique avec des visions par Google Maps, Street View qui permettent de visiter tout l’environnement du bien. Et effectivement, souvent régulièrement, notamment pour les gens qui sont éloignés, qui sont par exemple à l’étranger, de pouvoir réaliser en live, en même temps que le chasseur immobilier, et les enregistrer des vidéos sur les biens qui vont être visités. pour que 90% ou 95% du parcours d’achat se fasse en mode liste ancienne et que l’on ne garde en prise ancienne, qui est le plus chronophage, que le minimum de temps possible, qui est celui de la décision définitive et de la signature. Ce qui tombe plutôt bien, Frédéric, avec nos 3 millions d’auditeurs mensuels qui sont partout dans le monde, la solution Mon Chasseur Emo est assez idéale puisqu’en effet, à distance, on peut suivre, tu m’as dit à peu près, 90% du travail. Le nerf de la guerre, on va parler de l’argent.
Aujourd’hui, on est habitué à laisser une commission à la personne qui nous vend le bien. Résultat, je suppose que vous organisez une répartition avec celui qui maintenant trouve le bien. C’est ça. Quand on vend un bien immobilier, on se pose la question, je vends seul ou avec un agent immobilier. Si on prend les services d’un agent immobilier, on va lui rétrocéder une commission en tant que vendeur de l’ordre de 4-5% du prix du bien.
Et quand on est acheteur, donc nous proposons notre service, nos honoraires sont de 3%, 3% du montant de la vente, ce qui nous permet d’avoir ce niveau d’honoraires entre guillemets relativement bas, c’est tout simplement le digital et tout le temps qu’il nous fait gagner, parce que c’est essentiel. Et pour permettre finalement à l’acquéreur d’acheter dans de bien meilleures conditions que s’il achetait tout seul, en termes de gain de temps et en termes de rapport qualité-prix, et du bien qui doit rester. Je suis certain que des auditeurs sont en train de se dire mais c’est exactement ce qu’il me faut donc direction monchasseurimot.com vous avez accompagné plus de 10 000 acheteurs depuis 2012 95% de clients satisfaits ça c’est plutôt une information pratique Si vous voulez en savoir plus, lancez-vous monchasseurimot.com. Merci beaucoup Frédéric. C’est plutôt un gros succès.
C’est quand même dingue de se dire que c’était si simple de l’inventer et c’est toi qui l’as fait. Exactement. Merci Gauthier pour cette interview. A bientôt. Au revoir.
A bientôt.
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