Avec Guillaume Ottogalli, investissez dans l’immobilier sous le soleil de l’Espagne

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Vous êtes-vous déjà demandé ce que cela ferait de vivre sous le soleil de Madrid, loin du métro-boulot-dodo parisien? Dans cet épisode de « 10 minutes, le podcast des Français dans le Monde », Gauthier Seys nous emmène à la découverte de la vie madrilène avec Guillaume Ottogalli, un expatrié français qui a fait de l’Espagne son chez-soi. Ensemble, ils explorent les avantages de la vie en Espagne, des opportunités d’investissement immobilier et des défis de la mobilité internationale.

Guillaume Ottogalli, l’invité de cet épisode, est un entrepreneur français ayant une expérience riche et variée à l’international. Après avoir vécu en Australie et en Nouvelle-Calédonie, Guillaume a finalement posé ses valises à Madrid. Il a fondé GoEspagne.com, une plateforme dédiée à aider les francophones à investir en Espagne. Guillaume partage ses expériences personnelles et professionnelles, offrant un aperçu unique de la vie d’expatrié et des opportunités d’investissement en Espagne.

L’épisode se concentre sur les multiples facettes de l’investissement immobilier en Espagne. Guillaume explique comment GoEspagne.com accompagne les investisseurs à travers les démarches administratives, les réglementations locales et les subtilités fiscales. Il met en lumière les avantages d’investir dans des villes comme Madrid, Barcelone, Valence et les îles Canaries, où les opportunités sont nombreuses et les prix encore accessibles. Pour Guillaume, le moment est toujours propice pour investir en Espagne, un pays qui offre un climat agréable et une qualité de vie exceptionnelle.

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Podcast n°2233 (Juillet 2024) produit par www.FrancaisDansLeMonde.fr, 1ère plateforme multimédia pour ceux qui se préparent, qui vivent ou qui rentrent de mobilité internationale. Ecoutez nos radios et nos podcasts « Expat » en installant l’application mobile gratuite.

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Chapitrage de l’épisode

00:00:00-Introduction et Présentation du Podcast
00:00:25-Découverte de la Radio des Français dans le Monde
00:01:17-Voyages et Retours à Madrid
00:01:98-Vie Parisienne et Décision de Partir en Australie
00:02:20-Aventure en Australie et Nouvelle-Calédonie
00:02:58-Retour en Espagne et Premier Business
00:04:00-Nouveau Retour à Madrid et Évolution Post-Covid
00:06:00-Qualité de Vie à Madrid
00:07:00-Lancement de GoEspagne.com
00:08:40-Opportunités d’Investissement en Espagne
00:10:40-Processus d’Aide à l’Investissement
00:12:43-Clôture et Dédicaces

Retranscription de l’épisode

Voici 10 minutes, le podcast des Français dans le Monde pour aider tous ceux qui se préparent, qui vivent ou qui rentrent de mobilité internationale, des parcours inspirants et des paroles d’experts à retrouver sur francaisdanslemonde.fr. Je suis Gautier Saïs et j’ai le plaisir de passer 10 minutes sur le soleil de Madrid avec Guillaume Ottogali. 10 minutes, le podcast des Français dans le Monde. francaisdanslemonde.fr.
J’ai bien peur qu’on dise à nouveau beaucoup de bien de l’Espagne, de son climat, de ses avantages et même pour investir dans la brique. Bonjour Guillaume. Bonjour Gautier, merci de me recevoir. Alors je sais que tu as découvert la radio des Français dans le monde grâce à l’association Mazette qui nous réunit aujourd’hui. T’as eu l’occasion de découvrir un certain nombre de podcasts.
Tu te reconnectes un peu à la France avec la radio ? Oui, je pense que c’est un… Alors déjà, merci beaucoup Circé, la présidente de Mazette, parce qu’elle fait un travail vraiment génial pour connecter les Français qui sont sur Madrid. Et oui, oui, au niveau des podcasts, c’est vrai que c’est toujours intéressant de reconnecter un petit peu avec son pays natal. Alors ce pays, tu vas le voir, tu vas le quitter, tu vas revenir, tu vas repartir.
T’as eu la bouge de ces dernières années ? Oui, on peut dire que j’ai pas mal bougé. Mais Madrid a toujours été la destination Le retour, ça a été un peu le retour aux sources à chaque fois. Même si je suis parti, je suis toujours revenu sur Madrid. À chaque fois que tu m’as parlé de Paris, tu as associé ça au métro-boulot-dodo.
Ce n’était pas forcément la ville de tes rêves ? Non, c’est sûr. Moi, c’est vrai que tout le monde parle de Paris. Tout le monde aime Paris. Mais c’est vrai que quand on y vit, quand on y travaille, surtout quand on travaille loin, Une heure et quart aller, une heure et quart retour au minimum de transport, ça fait jamais plaisir.
Donc non, c’était pas la ville rêvée pour moi. En 2009, avec ta future femme, vous décidez de faire un break un an en Australie. Texto, la belle vie, c’est le souvenir que tu as. Voilà, la belle vie, un rêve de gosse aussi, l’Australie. un pays qui m’a attiré depuis de nombreuses années.
Alors maintenant c’est vrai que c’est un petit peu devenu cliché le fait de partir en Australie, à l’époque beaucoup moins, et c’était une aventure vraiment superbe, l’occasion de belles rencontres aussi, et puis aussi d’apprendre un petit peu l’anglais. Alors, sur le retour, tu dépenses tes économies en Nouvelle-Calédonie. Vous aurez peut-être mieux fait de ne pas vous arrêter sur cette étape, à vous y rester trois mois. Tu vois aujourd’hui l’actualité en Nouvelle-Calédonie. Tu comprends que c’est un souci qui sera difficile à régler ?
Probablement. Alors moi, j’ai un ami d’enfance qui habite là-bas. Justement, on s’est écrit récemment et il me disait que c’était une situation assez compliquée. Et au vu de l’actualité, je pense que c’est un problème récurrent et ça ne se résoudra pas dans les prochaines années. Le retour, vous décidez de le faire en Espagne.
Ça tombe bien, vous arrivez en pleine crise économique. Tu montes un business de boxe.
Un kilo de produits espagnols, tu te souviens que chez toi, à ce moment-là, dans un petit appartement, t’avais du jambon, du fromage, c’était un bon souvenir mais t’as pas continué l’aventure. Non, alors voilà, ça a été un bon premier business parce que ça m’a aussi appris la gestion, la rigueur, la gestion des stocks. Voilà, comme je te le disais, il y a un appartement de 2 pièces avec des stocks de jambon, de bouteilles de vin. Un business qui fonctionnait bien en période de Noël, mais avec des marges assez faibles et beaucoup de gestion. Je l’ai arrêté, mais c’était une très bonne expérience.
Alors vous arrêtez, vous retournez à Paris, tu reprends le travail que tu avais déjà commencé après tes études dans le tourisme. Tu bosses chez un tour opérateur, mais décidément, le lien se refait toujours avec l’Espagne. Tu t’occupes du marché espagnol, en l’occurrence, et à force d’envoyer des clients visiter l’Espagne, tu te dis que Madrid vous manque. Vous y retournez, vous vous y installez. Madrid, tu m’as dit, on connaît mal cette grande capitale et c’est depuis le Covid qu’elle a pris un peu son envol.
Pourquoi tu as cet avis ? Oui, je pense que… L’idée que les Français ont de Madrid, en fait, c’est une ville que les Français ne connaissent pas. Alors maintenant, oui, depuis le Covid, mais avant, c’est vrai que l’auberge, je reprends toujours cet exemple, mais l’auberge espagnole, le film, a fait la promotion de Barcelone pendant de nombreuses années. C’est vrai que dans la culture Française en tout cas, Barcelone était une ville assez connue et je pense aussi par la proximité.
Moi, même dans mon cercle d’amis, très peu d’amis connaissaient Madrid. Et depuis le Covid, en fait, par rapport à la politique flexible que Madrid a eu, dans la gestion du Covid. Après, dans une seconde phase, je pense qu’il y a beaucoup de touristes qui ont découvert la ville grâce à ça. Ça a été un mal pour un bien. C’est vrai que ce film, l’auberge espagnole, a irrésistiblement éclairé Barcelone.
Et tu penses que Madrid a ses atouts, ses avantages ? Qu’est-ce que tu me dirais pour vanter, à part la météo qui est un peu partout en Espagne, est quand même très agréable, pour vanter la capitale ? Alors effectivement, on a un ciel bleu qui est incroyable. Ici, ça change les journées. Toi, tu me parlais du ciel de l’île.
Le ciel noir de l’île. Le ciel noir de l’île. Mais oui, ici, c’est vrai qu’on a une luminosité qui est quand même assez incroyable. Et la qualité de vie, c’est surtout les gens. Moi, je dis toujours que c’est une capitale européenne, mais C’est comme un petit village.
Moi, je vis dans le centre de Madrid. Le quartier est top. Et je connais mes voisins. Enfin voilà, quelque chose qui… Peut-être qu’à Paris, je n’aurais pas eu, je pense, la même sensation.
Résultat, en 2023, tu décides de te lancer dans une aventure qui s’appelle GoEspagne.com. Tu tapes l’adresse sur ton navigateur et tu arrives sur une dame qui saute dans une piscine avec des palmiers. Évidemment, forcément, ça donne envie. L’idée pour cette plateforme, c’est d’aider les francophones à investir en Espagne. La réglementation, les notaires, les démarches, la fiscalité, c’est des étapes qu’il ne faut pas louper.
Pour autant, investir en Espagne, pour toi, c’est le bon moment. C’est toujours le bon moment. C’est-à-dire qu’il y a toujours une opportunité quelque part. De toute façon, dans l’immobilier, il y a deux bons moments. C’est-à-dire que c’était il y a dix ans et le deuxième bon moment, c’est aujourd’hui.
Donc, c’est toujours le bon moment. On trouve toujours, tous les jours, on trouve des bonnes offres. Ce que je te disais aussi, c’est que c’est vrai que le marché immobilier en Espagne permet aux Français qui ont. L’Habitude.
De l’immobilier en France, d’avoir accès à des biens qui sont par exemple en première ou seconde ligne de plage, à des prix quand même beaucoup plus accessibles que sur le marché français. Et c’est toujours une bonne option pour se constituer un patrimoine, éventuellement préparer sa retraite. et pouvoir léguer quelque chose à ses enfants. Avoir un bien en Espagne, c’est toujours une bonne solution. Alors il y a Madrid et Barcelone, on en a parlé, mais il y a aussi Valence, Alicante, les îles Calari, sur lesquelles tu as un petit coup de cœur.
Alors les îles Canaries bien sûr. Ma femme est canarienne donc les îles Canaries c’est un endroit que je connais très bien puisque je y vais depuis 15 ans maintenant. Il y a des opportunités d’investissement. On a fait des choses là-bas, on accompagne aussi les clients en ce moment. C’est pareil, il y a toujours des bonnes opportunités et les prix restent accessibles.
Alors évidemment, on connaît Barcelone, Madrid, on connaît moins Valence, Alicante ou les îles Canaries. Pourtant, il y a de belles opportunités d’investissement à faire sur ces villes. Alors Valence, ça reste quand même une destination très connue et prisée, justement, des Français. Les îles Canaries, un peu moins, même si… Donc moi, j’ai un lien assez fort, puisque ma femme est canarienne et que j’y vais depuis 15 ans.
Et ça reste un très bel endroit pour faire des investissements. D’ailleurs, les Allemands et les Anglais l’ont bien compris, puisqu’il y a une très forte communauté là-bas. Mais pour, par exemple, un objectif retraite, c’est très intéressant puisque ça reste l’Europe et il y a un climat de printemps toute l’année. Alors attention, au niveau budget, on a besoin d’un apport minimum de 35%, donc il faut avoir un peu de cash pour investir. Il faut avoir un peu de cash.
C’est ce qui permet aussi d’avoir un marché de l’immobilier en Espagne qui est assez stable en comparaison à ce qui s’est passé en France sur les derniers mois, voire la dernière année. Il faut avoir un petit peu de cash ou se faire financer. Il y a aussi des possibilités où on travaille avec des partenaires dans le financement pour obtenir des financements en Espagne pour les francophones. Concrètement, pour avoir une résidence secondaire, il faut imaginer un budget de quel ordre ? Alors c’est pareil, c’est une question assez vague, notamment sur la typologie du bien, mais en règle générale, on peut, avec un budget de tout compris, de 200 000 euros, on peut avoir quelque chose d’assez correct pour venir passer ses vacances et éventuellement faire un investissement locatif.
Et qu’on comprenne bien, Guillaume, grâce à GoEspagne, tu vas prendre en charge toute la partie que l’on ne voit pas, la partie à l’ombre, il en faut en Espagne, avec la réglementation, les démarches administratives, etc. Le processus, c’est comment ? On te contacte toi et tu t’occupes du reste ? Voilà, alors le processus déjà c’est de voir un petit peu le projet, parce que chaque projet est différent, chaque personne est différente, il y a une situation différente, donc déjà ce que je peux recommander aux auditeurs c’est d’aller faire un tour sur GoEspagne.com, de lancer un projet et nous on les recontacte pour voir un petit peu si le projet est faisable ou pas.
On accompagne sur toute la partie des démarches, il faut un numéro d’identification des étrangers et à partir de là, on accompagne sur la recherche du bien, on accompagne jusqu’à la signature chez le notaire. Il faut savoir que le notaire, par exemple, est bien différent du notaire français. Il n’a pas du tout les mêmes fonctions. Donc généralement, comme c’est l’achat d’une vie ou les économies d’une vie, on préfère généralement passer par quelqu’un et se faire accompagner pour éviter les erreurs et les arnaques. Donc nous, on est là pour ça.
Et ça va jusqu’au moment où tu vas boire l’apéro dans la nouvelle maison. Voilà, où on débouche la bouteille de champagne pour célébrer l’achat. Il y a du champagne espagnol ? Parce que sinon, le champagne, c’est français. Alors le cava, oui, c’est le cava.
J’ai ma petite préférence pour le champagne, mais il y a des cavas qui sont très bons quand même. Tu vois que tu reviens toujours à la France quand même. Bien sûr, bien sûr. On garde un pied en France toujours. Le lien pour GoEspagne.com est dans ce podcast si vous avez envie d’investir dans ce beau pays.
Merci, Guillaume. Je te laisse avec ton ciel bleu et je vais retrouver mon ciel noir. Merci, Gauthier. À bientôt.
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