Desjardins : Votre allié pour une nouvelle vie au Canada

Avez-vous déjà envisagé de changer de vie et de vous installer au Canada ?

Sur « La radio des Français dans le monde », Gauthier Seys nous invite à explorer les défis et les préparatifs nécessaires pour une expatriation réussie au Canada. Il est rejoint par Aurélie Gualtieri et Sylvain Rossero du bureau Europe de Desjardins, groupe financier coopératif contribuant au développement des communautés, qui partagent leurs expériences personnelles et professionnelles de la mobilité internationale. L’épisode s’adresse à tous ceux qui envisagent de vivre cette aventure, en soulignant l’importance d’une préparation minutieuse, notamment dans le domaine financier.

Aurélie Gualtieri et Sylvain Rossero apportent leur expertise du bureau Europe de Desjardins. Aurélie, originaire du Loir-et-Cher, a commencé son parcours international en Irlande pour améliorer son anglais avant de s’installer au Canada avec sa famille. Sylvain, de Grenoble, a travaillé pendant deux décennies dans une grande banque française avant de s’installer à Toronto avec sa famille. Tous deux ont vécu les complexités de l’installation au Canada et utilisent maintenant leurs expériences pour accompagner d’autres expatriés.

L’épisode se concentre sur les préparatifs essentiels pour une expatriation réussie au Canada, en mettant un accent particulier sur la gestion financière. Aurélie et Sylvain partagent des anecdotes personnelles sur les défis rencontrés, tels que l’adaptation au système bancaire canadien et les procédures d’immigration. Ils soulignent l’importance d’être bien informé et accompagné pour éviter les erreurs courantes et réduire le stress lié à une telle transition. Grâce à leur rôle chez Desjardins, ils offrent des conseils pratiques pour aider les futurs expatriés à naviguer dans cette aventure avec plus de sérénité.

https://www.desjardins.com/a-propos/desjardins/gouvernance-democratie/structure/bureau-representation-europe/index.jsp

Chapitrage du podcast :
00:00:01-Bienvenue et introduction des invités
00:00:43-Décision de partir au Canada
00:01:86-Préparation bancaire avant le départ
00:02:131-L’expérience d’Aurélie en Irlande et premier départ au Canada
00:02:161-Difficultés rencontrées en arrivant au Canada
00:04:287-Le processus du « tour du poteau »
00:05:310-Retour en France et rejoindre Desjardins
00:06:343-Décision de Sylvain de partir au Canada
00:06:409-Déménagement de Sylvain et arrivée à Toronto
00:07:448-Accompagnement bancaire par Desjardins
00:09:577-La to-do list pour un départ au Canada
00:11:711-Histoire de Desjardins et rôle actuel

Transcription IA du podcast :

Bienvenue dans 10 minutes, le podcast des français dans le monde pour aider tous ceux qui se préparent, qui vivent de près ou de loin la mobilité internationale. Je suis Gauthier Saïs et j’ai le plaisir de passer 10 minutes avec Aurélie Gualtieri et Sylvain Rossero de Desjardins.
10 minutes, 10 minutes, le podcast des français dans le monde.
Vous avez envie de changer de vie et pourquoi pas le Canada ? Mais attention, un homme averti en veut deux. Voici un podcast essentiel à écouter avec mes deux invités Aurélie et Sylvain qui font partie du bureau Europe de Desjardins. Aurélie, bonjour, bienvenue. Bonjour Gauthier.
Première fois à la radio ? Première fois. Tu vas voir, ça ne fait pas mal. Quant à Sylvain, je l’ai déjà reçu à ce micro. Bonjour, bienvenue Sylvain.
Alors on va ensemble, tous les trois. Échanger sur cette grande expérience, vivre une aventure à l’étranger, au Canada. Ce qu’on va raconter fonctionne pour l’entièreté du Canada parce que le pays est grand quand même. Il va fonctionner en tout cas pour Desjardins sur la partie bancaire, il va fonctionner sur le Québec et sur l’Ontario, sur la partie assurance pan canadien donc le Canada en entier et pour nous quant à nos expériences dont on parlera en effet on est sur le Québec et l’Ontario. Alors, comme je le disais, un homme averti en vaut deux.
Avant de partir, il y a pas mal de choses à préparer. Il faut notamment se préparer sur le domaine bancaire. On va faire la preuve par l’exemple avec Aurélie qui s’était mal préparée et Sylvain qui s’était mieux préparé. Il y a un bon élève et une mauvaise élève. Toi, tu es au fond de la classe, Aurélie, à côté du radiateur.
Ça, c’est sûr. Je suis même de dos, professeur. Alors on commence justement par ton parcours, tu originaires du Loire et Cher dans la région centre, des études dans le commerce et la communication, tu commences une première aventure à l’international en Irlande. Qu’est-ce qui t’a amené en Irlande ? Je voulais développer mon anglais justement parce que j’avais d’autres projets de parcourir un peu le monde à l’époque et mon anglais n’était vraiment pas bon donc je suis allée plusieurs mois en tant que professeur de français en Irlande pour essayer d’acquérir justement l’anglais.
Au retour tu travailles dans les énergies renouvelables et puis ensuite Avec ton mari qui a de la famille au Canada, vous vous dites tiens ce serait une bonne expérience, pourquoi pas tenter ça. Vous avez des enfants, c’est aussi l’occasion pour eux d’avoir un mindset un peu différent sur le fait d’être citoyen du monde. Résultat, vous allez vous lancer dans une demande de PVT. On peut rappeler que le PVT au Canada est un système de tirage au sort qui doit donner des frissons. Eh oui, parce que t’as beau être marié, t’as beau vivre en concubinage ou autre, ça ne te garantit pas de PVT.
C’est chacun pour soi à ce moment-là, et puis c’est une loterie. Donc on a joué la première année et on en a à moitié perdu. On a à moitié perdu parce que toi tu gagnes, mais ton mari non. Donc un peu asynchrone sur le sujet, tu vas commencer seul là-bas. Et puis, à part le logement où tu t’étais préparé avant de partir, t’as eu quelques petits soucis arrivés sur place, alors notamment sur la partie financière.
On peut, par exemple, aux auditeurs expliquer que le système de la carte de crédit, comme on dit en France, qui est plutôt en France une carte de débit, fonctionne différemment. Et quand on ne le sait pas, on a un peu perdu. Complètement, en fait, je me suis tellement projetée pour partir à l’étranger. que je voyais surtout gérer mes meubles, gérer tout ce qu’il y avait en France avant de partir. Ensuite, à l’arrivée, gérer pareil les écoles, etc.
Que toute la partie financière, je ne m’en suis absolument pas occupé parce que je ne me suis pas posé une seule fois la question que le domaine financier là-bas fonctionnait différemment de en France. Je sais que c’est dans une autre devise, mais en fait, ça s’arrêtait là, mes connaissances. Et là, arrivé là-bas, j’ai compris qu’il y avait deux cartes et quand je suis arrivé à une caisse, elle m’a dit, vous payez comment ? Débit ou crédit ? Et là, c’était le drame.
Je ne comprenais pas. Alors c’est sûr qu’on a beaucoup de choses à préparer quand on vit à l’étranger, donc ce n’est pas forcément en haut de la liste. En effet, on se soucie de détails du quotidien, mais pourtant, l’argent, ça va quand même être assez important. Donc là, tu vas avoir des petites galères. Tu vas avoir des petites galères également avec le service immigration, le permis ouvert, le permis fermé, le tour du poteau.
Tu as connu tout ça ? Oui, j’ai connu tout ça en fait. À l’époque, on pouvait encore faire le tour du poteau, donc je l’ai fait environ quatre fois avec mon conjoint pour justement, après le PVT, pouvoir rester sur le territoire parce que notre demande était toujours en cours auprès de l’immigration pour lancer une résidence permanente. Et au final, il a fallu qu’on passe par un permis fermé, on est passé par un permis ouvert, on a alterné tous les deux. Le Covid s’est installé, donc ça a été assez compliqué.
Alors on rappelle que le tour du poteau, c’était quitter le Canada pour faire le tour du poteau, rentrer aux Etats-Unis et revenir au Canada. Et que maintenant, ça n’existe plus. En écoutant la radio des Français dans le Monde, vous avez appris ça. Le système s’est numérisé aujourd’hui. En tout cas, ça donne des frayeurs ?
Ça donne des frayeurs. Ça donne surtout de l’incertitude, en fait, parce que malgré tout, on est quand même avec des enfants et on ne sait jamais, en fait, dans les six mois prochains, l’année suivante ou autre, est-ce qu’on a possibilité encore de pouvoir rester sur le territoire ? C’est ça, c’est quand on est solo ou en couple, mais qu’on a en plus des enfants, il y a quand même l’heure à venir à l’école et tout ça qui rentre en jeu. Donc, il ne faut pas déconner sur le sujet. Ça empêche de dormir de temps en temps, peut-être un peu.
Oui, un petit peu. C’est un peu angoissant. En 2022, retour en France. Et là, tu vas rejoindre Desjardins. Et comme tu as bien connu cette position, tu vas désormais aider les futurs partants.
On va en parler dans un instant. Je me tourne vers Sylvain. Toi, tu es originaire de Grenoble. Tu vis aujourd’hui à Lyon, tu fais des études de communication et commerce et tu bosses pendant 20 ans dans une grande banque française, notamment dans le domaine de la gestion de patrimoine. Et comme pour Aurélie, un jour, avec ta conjointe, tu te dis, une aventure à l’international, ça pourrait être vraiment chouette.
Comment vous avez fait le choix du Canada ? Ça a été une grosse prospection, en fait, pour tout te dire. Moi, j’ai une partie de ma belle famille qui est aux Etats-Unis, donc on s’est posé la question des Etats-Unis. Il y avait l’Angleterre, qui n’était pas loin, parce que nous, on cherchait vraiment l’anglophonie pour le coup. Et le Canada, c’est un peu imposé comme étant le mix parfait entre les Etats-Unis et la France, finalement, en termes de santé, d’éducation et beaucoup de choses.
Donc, on s’est dit, tentons l’aventure. Et nous, on est partis pour le coup à Toronto. On s’est mis vraiment, on s’est baigné dans l’anglophonie. Tu l’as fait comme un vrai banquier, avec un tableur Excel, les avantages et les inconvénients de chaque pays ? Bah oui, c’était sûr !
Moi c’était sur un bout de papier que j’aurais perdu, toi c’était sur un tableur Excel, évidemment. En tout cas, en 2017, vous décidez donc de partir. Le petit dernier, vous avez trois enfants. Il a six semaines. Là, c’est sport quand même de vivre ce genre de déménagement.
Ouais, c’est ça. En 2017, on se dit on va partir. C’est un peu long. Le processus d’immigration est long. Finalement, on part en 2019.
On devait partir, mais on a un petit dernier qui arrive un peu par surprise. Donc, on attend qu’il naisse en France et puis on part. Il a six semaines. Et du coup, ça décale un peu le tout et on part en décembre 2019. Et trois mois après, le monde ferme.
Donc, un peu compliqué. Tu ne l’avais pas mis dans le tableur, le petit dernier. Non, le petit dernier, le Covid, je l’avais oublié dans le tableur. Et comme tu bosses dans le domaine de la banque déjà, tu connais Desjardins et tu vas te faire accompagner. Alors, ça va être la différence avec Aurélie.
Justement, pour bien comprendre le nouveau fonctionnement qui t’attend, tu vas t’enseigner en amont. Exact. Je me renseigne parce que j’ai en effet entendu parler de Desjardins. Donc, je contacte le bureau puisque Bureau en France était déjà là, donc nos prédécesseurs finalement. qui m’explique les tenants, les aboutissants, qu’on peut être accompagné, qu’on peut commencer à ouvrir le compte de France, qu’on peut en arrivant juste se faire authentifier finalement dans une caisse et puis avoir déjà la carte, le cache et tout ce qui va bien.
Donc je prends le process, comment on me l’amène et je suis vraiment très bien accompagné pour le coup. Et c’est vrai qu’en arrivant à Toronto, le lendemain, mais vraiment le lendemain de notre arrivée, on est arrivé dans l’agence de Toronto Desjardins. Et tout simplement, on nous a remis, on a signé les papiers, on nous a remis notre carte, on nous a donné du cash et puis l’avis financier était parti et on m’a expliqué aussi en effet sur place, le conseiller m’a bien expliqué comment fonctionnait cette carte de crédit, cette carte de débit, les placements, enfin tout ce qui allait bien. Donc bien accompagné. Ce qu’il faut faire, ce qu’il ne faut pas faire, les différences avec la France.
Parce qu’on a quelques habitudes. Moi, je me souviens, la première fois que j’ai voyagé loin, c’était aux États-Unis. Je ne savais pas faire le plein de ma voiture arrivée à la station essence. C’est des petits bugs culturels. Mais voilà, quand on ne connaît pas le système, déjà, on peut faire des erreurs et ça peut donner des aigreurs.
C’est pour faire rimer. Exactement.
Le fait d’avoir eu cet accompagnement et Aurélie non, évidemment aujourd’hui vous êtes tous les deux à la tête d’un bureau pour accompagner les Européens qui vont se diriger vers le Canada. C’est quoi ? C’est de la tranquillité en plus ? Clairement, c’est vrai qu’on s’en parle avec Aurelien, mais de pouvoir être accompagné, tu sens quand même qu’on te tient la main sur un sujet qui est quand même le sujet de la finance. Donc c’est ton argent, ton voie, etc.
C’est toujours un sujet un peu anxiogène. D’être accompagné, qu’on te tienne la main comme ça un peu au départ et qu’on te la récupère à l’arrivée, c’est quand même une source de stress en moins, clairement. Clairement, on garde son compte en France aussi. On doit un peu jongler. Là, on est conseillé.
Vous, vous conseillez aujourd’hui sur ce genre de point ? On conseille automatiquement à toutes les personnes qui partent en immigration de conserver un compte bancaire français, quitte à le mettre au minimum d’un point de vue service. Mais c’est vraiment important parce qu’on ne sait jamais combien de temps on part. Et il peut y avoir des aléas de la vie, malheureusement, comme des décès ou autres, et où on a besoin d’un compte bancaire français. Donc c’est très important d’en conserver un en France.
Les impôts, il ne faut jamais oublier que c’est l’année d’après. Donc si vous fermez votre compte, vous n’avez pas moyen de payer les impôts. Ils disaient ça, pareil au Canada. Quand vous avez devant vous quelqu’un qui veut vivre cette aventure, c’est compliqué peut-être parfois, parce qu’il y a des questions qui doivent dériver, doivent poser des questions sur le système de santé, etc. Comment vous faites ?
Parce que vous n’êtes pas non plus un expert intégral sur tous les domaines du Canada ? Non, c’est clair, on a notre champ d’expertise, évidemment, mais tu as raison, ça dérive, mais on a aussi beaucoup de partenaires. Donc, c’est aussi l’avantage du bureau qu’on a en Europe. On a énormément de partenaires sur le territoire de la mobilité internationale, donc pour la santé, la relocalisation, etc. Et nous, on a cet avantage de pouvoir aussi les orienter vers les bons interlocuteurs parce qu’on trouve beaucoup de choses sur Internet.
Certaines sont vraies, d’autres sont fausses. D’avoir les bons interlocuteurs, ça va nécessairement aider. Et puis, ça dérive aussi sur le personnel. Je pense qu’Aurélie peut corroborer, mais on me pose beaucoup de questions. Est-ce qu’il fait froid ?
Comment c’était avec des enfants ? Ils veulent toujours avoir notre point de vue personnel, notre expérience personnelle, donc on l’amène. Mais comme on dit, c’était la nôtre, la leur sera sûrement différente. Et de toute façon, la mobilité internationale change tout le temps. Elle est en constante évolution.
Ce qui s’est passé avec nous il y a cinq ans n’est plus d’actualité. On va sortir un tableur du coup, Sylvain, pour les auditeurs qui nous écoutent. C’est quoi le bon rétro-planning entre l’envie de vivre cette aventure, l’organisation, le départ ? Il faut prévoir quoi ? La to-do list, comme tu le dis, elle existe.
Quand tu vas te marier, tu fais une to-do list. Quand tu pars à l’étranger, tu fais une to-do list. Donc, il faut prévoir tout ce qui est à prévoir, picocher les choses une à une. La banque, très clairement, ne va pas être dans le point de départ parce que ton point de départ, c’est l’immigration. C’est clair.
Comment je vais rentrer dans le pays ? Mais à un moment, la banque va arriver dans ce point-là d’accompagnement de la banque. Nous, souvent, ce qu’on explique, que ce soit Reni ou même nos deux collègues, Julie et Lydia, ce qu’on fait, c’est qu’on dit, en gros, quand tu as ton billet d’avion dans les mains, c’est-à-dire trois, quatre mois avant, c’est ce moment-là où tu peux décider de commencer à préouvrir ton compte depuis ton pays d’origine, puisqu’on accompagne toute l’Europe. Donc, nous, on les accompagne à partir de ce moment-là pour avoir le délai tranquillement d’ouvrir un compte à distance, tranquillement de faire un virement des fonds un mois avant de partir, pour qu’en arrivant, tout soit sur place. Un petit mot sur l’histoire de Desjardins, du coup ?
Desjardins a été créé en 1900 à Lévis, au Québec, par Alphonse Desjardins. À l’époque, c’était d’ailleurs même une révolution parce que sa femme Dorimène travaillait avec lui, chose qu’à l’époque ne se faisait pas. Au départ, c’était créé pour justement un peu le système avec les agriculteurs, etc. Et Desjardins a toujours été une coopérative. Donc, c’était le fonctionnement de base et c’est toujours resté comme ça depuis toutes ces années.
D’ailleurs, il faut savoir que Desjardins est la seule banque coopérative, donc on ne dit pas une banque au Canada, pour information, on dit une institution financière qui existe en Amérique du Nord. Du coup, je suis certain que vous faites un métier assez passionnant. Même si vous voyez les gens partir, vous les aidez à ce que tout ça se passe le mieux possible. Ça va être assez grisant finalement, parce que je suppose qu’arrivés sur place, ils vous donnent des contacts et tout ça, ils vous rappellent, ils vous envoient des mails, des photos. Ouais, on a des témoignages, c’est vrai qu’on est dans l’accompagnement, donc les gens souvent nous réécrivent en disant « ça y est, je suis arrivé » ou « ça y est, j’ai trouvé un boulot, c’est super, l’aventure continue ».
Et puis pour nous, c’est très agréable, en effet, on a un travail qui est, comme tu dis, grisant et très gratifiant parce que quand t’accompagnes les gens, c’est une bonne action, tu vois. On est là pour les aider, nous. Donc c’est un super travail, on a vraiment de la chance d’être dans ce bureau et puis on espère en accompagner encore plein. J’aurais juste rajouté un petit truc, c’est qu’ils arrivent et ils sont sereins. Et ça, c’est important.
Et ça, pour le domaine de la banque, ça n’a pas de prix. En effet. Elle est pas mal pour terminer cette interview avec Aurélie et Sylvain de Desjardins, le bureau Europe, qui prépare les nouveaux arrivants. Merci beaucoup d’avoir été avec nous sur l’antenne de la radio des Français dans le Monde. Et puis à très vite.
Merci. Vos podcasts sur la mobilité internationale sont sur fdlm.fr. et sur YouTube en cherchant Français dans le Monde.

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Podcast n°2608 (novembre 2025)

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