Alix Carnot : Les défis des Conjoints Accompagnateurs en Mobilité Internationale

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Dans cet épisode captivant de « 10 minutes, le podcast des Français dans le monde » réalisé en partenariat avec Expat Communication & FemmExpat, Gauthier Seys s’entretient avec Alix Carnot, directrice adjointe d’Expat Communication, pour aborder un sujet essentiel mais souvent négligé : le rôle du conjoint accompagnateur dans le cadre de l’expatriation. Alors que de nombreux Français choisissent de vivre en mobilité internationale, il est crucial de comprendre les défis uniques auxquels ces conjoints sont confrontés, tant sur le plan professionnel que personnel.

Alix partage des statistiques frappantes qui révèlent qu’environ 50 % des conjoints expatriés aspirent à intégrer le marché du travail, mais beaucoup d’entre eux rencontrent des obstacles significatifs. En effet, la recherche d’emploi et la reconnaissance professionnelle demeurent des défis majeurs, exacerbés par le manque de soutien des entreprises. Ce constat soulève des questions importantes sur la manière dont les entreprises peuvent mieux prendre en charge ces conjoints, et sur l’évolution des perceptions autour des hommes en tant que conjoints accompagnateurs.

Au fil de leur discussion, Gauthier et Alix mettent également en lumière les impacts à long terme de l’absence de revenus, tant pendant qu’après l’expatriation. Comment cette situation affecte-t-elle le bien-être financier des familles expatriées ? Quels sont les effets émotionnels et psychologiques de cette dynamique sur les conjoints ? Ces questions sont cruciales pour mieux comprendre la réalité de la mobilité internationale.

Cet épisode vise à sensibiliser les auditeurs aux enjeux souvent méconnus de l’expatriation, tout en encourageant des discussions constructives sur la manière d’améliorer la situation des conjoints accompagnateurs. En mettant en avant les expériences vécues et les défis rencontrés, « 10 minutes, le podcast des Français dans le monde » offre un éclairage précieux sur la vie des expatriés et de leurs familles.

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Podcast n°2309 (Octobre 2024) produit par www.FrancaisDansLeMonde.fr, 1ère plateforme multimédia pour ceux qui se préparent, qui vivent ou qui rentrent de mobilité internationale. Ecoutez nos radios et nos podcasts « Expat » en installant l’application mobile gratuite.

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Transcription de l’épisode :

Orateur #0 Voici 10 minutes, le podcast des Français dans le monde, dans le cadre du dossier spécial, le rôle du conjoint accompagnateur réalisé en partenariat et en exclusivité avec Expat Communication et Femmes Expats. Je suis Gauthier Seyss et j’ai le plaisir de passer 10 minutes avec Alix Carnot, directrice adjointe de Expat Communication. 10 minutes, le podcast des Français dans le monde. Je vais avoir des chiffres, je vais avoir des tendances, je vais même avoir un témoignage puisque c’est un rôle qu’Alix a déjà connu dans son parcours. Bonjour Alix et bienvenue sur la radio des Français dans le Monde. Orateur #1 Bonjour Routier, bonjour à tous. Orateur #0 Alors c’est un exercice que tu aimes, partager et évoquer ce sujet du conjoint accompagnateur. Vous avez même décidé d’être partenaire sur la radio de ce dossier spécial. Gros sujet et il y a encore beaucoup de boulot. Orateur #1 Oui, il y a encore beaucoup de boulot pour deux raisons principales. La première, c’est la carrière des conjoints expats, parce qu’il y a la moitié des conjoints expatriés qui voudraient travailler en expatriation qui n’y arrivent pas. Donc ça, c’est un vrai enjeu. C’est beaucoup de temps. Et puis l’autre enjeu, c’est l’enjeu patrimonial, de revenu, de protection financière du conjoint expatrié pendant l’expatriation. parce qu’il n’a pas forcément de revenus, mais aussi au retour, parce que ces trous dans la raquette, dans les revenus, ça peut durer, avoir un impact à très long terme, voire quasiment jusqu’à la retraite. Orateur #0 Et bien justement, il y aura un podcast sur le sujet de la retraite. Orateur #1 Ça va se passer avec ça, quelles sont les tendances. Et je rajouterais une troisième chose, qui est la situation du conjoint suiveur quand c’est un homme. D’ailleurs, tu m’entends dire que je suis un tel conjoint suiveur, c’est une expression que normalement je n’utilise jamais. Orateur #0 Eh bien, nous, on ne l’utilise plus. On déteste. On peut faire accompagnateur que suiveur. Il y a un petit côté un peu moins. Orateur #1 Voir même conjoint expat. Parce que déjà, on peut peut-être commencer avec ce chiffre-là. Dans 90% des cas, le conjoint était tout à fait d’accord pour partir. Enfin, tu vois, autant que celui qui va être le collaborateur ou la collaboratrice. Donc, il n’est pas… accompagnateur dans le sens, il n’est pas un pas derrière. Orateur #0 Il est décideur comme l’autre. Orateur #1 Voire même, parfois, il est à l’origine du mouvement. C’est-à-dire, chérie, j’ai envie qu’on s’expatrie, trouve-toi un job à l’étranger. Et ça, ça peut être 25% des cas. Orateur #0 Alors, c’est vrai qu’on va parler avec des chiffres, puisque au sein d’Expat Communication, vous avez décidé de créer un baromètre, notamment pour mieux connaître ses conjoints accompagnateurs. Du coup, depuis 10 ans, chaque année, 4 enquêtes. Il y a donc des chiffres. On peut voir une évolution dans le temps. On va même pouvoir, dans ce podcast, un peu se projeter dans le futur. Mais ce baromètre est essentiel pour mieux les connaître. Orateur #1 Oui, c’est la première source de données sur les expatriés français. On l’a créée au départ. C’est une histoire de conjoint expat. Quand je suis rentrée de 15 ans d’expat, comme pas mal d’expats qui ont beaucoup bougé. Moi, j’ai bougé 8 fois en 15 ans. J’étais un petit peu azimutée. La meilleure façon d’atterrir quand tu as la tête qui tourne, c’est d’écrire un bouquin. Donc j’ai écrit un bouquin sur le couple en expatriation. Parce que la question que je me posais, c’était pourquoi est-ce que moi j’ai trouvé cette expérience de mener de façon conjointe, partir à l’étranger, vivre en couple et travailler, des choses qui paraissent assez élémentaires, partir en l’an 2000, revenir en l’an 2015. Ça me paraissait assez logique de vouloir ces trois choses. Et en fait, c’est pas possible, c’est très difficile. de réaliser ça pour les deux dans le couple. Orateur #0 Il y a des obstacles. Orateur #1 Donc j’avais du mal à comprendre exactement pourquoi, de faire le bilan de ça. Je me suis dit, je vais écrire un livre, et puis une fois que j’ai écrit le livre, je me suis dit, oui, ça c’est mon expérience à moi, c’est que ma vision, il faut des données beaucoup plus larges pour pouvoir parler comme toi, d’être la voix des expats, et pas juste la voix de ma petite expérience à moi. Orateur #0 Bien sûr. Orateur #1 J’ai publié un sondage, et je me suis dit, j’ai eu pratiquement 2000 réponses à ce premier sondage sur le conjoint expat. Et c’est comme ça qu’est né notre baromètre, vraiment d’une enquête au départ sur vous qui avez suivi votre conjoint à l’étranger, apportez-nous votre expérience. Orateur #0 Alors on va commencer avec un premier focus pour bien savoir de quoi on parle. Qui sont ces conjoints ? Orateur #1 Alors la première chose qu’on a apprise avec le baromètre, c’est le conjoint expat, c’est le même que l’expatrié, simplement, généralement, c’est une femme. Un expat, c’est quoi ? C’est quelqu’un qui a souvent Bac plus 5, dans 80% des cas, il est cadre, pas tout le monde, mais dans 80% des cas. Et il est originaire, dans les deux tiers des cas, d’un grand groupe, souvent de la région parisienne. Le conjoint, c’est le même, à 88% aujourd’hui, 92% quand on a commencé les études, c’est une femme. Et l’autre différence entre le conjoint et le collaborateur, c’est que le collaborateur, il est plus souvent ingénieur, dans 25% des cas. Le conjoint, il est plus souvent avec une formation type école de commerce, dans 14% des cas, avec des fonctions support siège, type les mots en ink, c’est marketing, sourcing, etc. Orateur #0 On a évoqué, mais on s’attardera plus longuement dans un podcast dédié aux hommes qui sont à cette place. Alors, sur 10 ans, on est passé de 8 à 12% d’hommes accompagnateurs. Bon, ça évolue, mais on n’est pas à 50-50. Orateur #1 Non, on est très, très loin du 50-50. Même dans les très rares entreprises où il y a 50% des expatriés qui sont des femmes, il n’y a pas 50% des conjoints qui sont des hommes. Alors, on pourrait se dire que c’est parce que c’est deux femmes qui partent ensemble. Ça peut arriver, mais ce n’est pas ça. qui explique la différence. La différence, elle vient du fait que quand les femmes partent en expatriation, c’est encore tellement un enjeu aujourd’hui d’être un conjoint homme que souvent les femmes partent soit seules, parce qu’elles sont célibataires, soit en laissant leur conjoint en France et c’est du célibat géographique. Ça existe aussi, il y a des hommes qui laissent leur femme et c’est du célibat géographique, mais c’est plus fréquent chez les femmes. Orateur #0 Alors, du coup, avec le paramètre, on arrive à savoir un peu comment ils vivent cette expérience. Du coup, ma question est, comment vont-ils ? Orateur #1 Alors, ils vont mieux, Gauthier. C’est une bonne nouvelle. Les conjoints vont mieux, mais ils vont structurellement moins bien que les collaborateurs. C’est-à-dire, aujourd’hui, le niveau de morale des collaborateurs, sur une échelle de 0 à 100, dans nos dernières mesures qui datent de cet été, le niveau de morale des collaborateurs est à 74. C’est vachement bien parce qu’on vient de 67 au moment du Covid. On a regagné 7 points. Les conjoints, c’est tendanciellement 5 points de moins. Donc aujourd’hui, les collaborateurs sont à 74. Pardon, j’ai des bêtises. Les collaborateurs sont à 72 et les conjoints sont à 67. Et après, on peut décomposer. Ça, c’est vachement intéressant. Donc on a ce personnage. On appelle un personnage dans une étude, c’est-à-dire c’est une partie. de l’échantillon qu’on va étudier de plus près, ce qu’on fait pour les conjoints, et on se rend compte que les conjoints qui vont le moins bien, c’est ceux qui cherchent du boulot. Là, on perd 20 points par rapport aux autres. Et ceux qui ont cherché du boulot et qui n’en ont pas trouvé, ceux-là ont un niveau de morale à 37. Orateur #0 Un catastrophe. Orateur #1 Imagine, sur une échelle de 0 à 100, 37, ça veut dire pour tout le monde, un conjoint qui a voulu travailler et qui n’y arrive pas, ça ne va pas. Orateur #0 Ça va pas, et en plus, ça entraîne derrière des doutes sur l’aventure, un mal-être, même peut-être des problèmes physiques. Enfin, ça peut avoir des lourdes conséquences. Orateur #1 Ça peut avoir des lourdes conséquences. Et puis, ça veut dire que dans le couple, ça risque de faire des tiraillements parce que le contrat n’y est pas. C’était, bon, on part, mais je retrouverai du boulot. Peut-être pas un super job, mais j’aurai un job. Et puis, en fait, il y en a un des deux qui se retrouve un peu, qui a l’impression d’être le dindon de la farce. Et la frustration dans un couple, c’est un des pires sentiments qu’on puisse ressentir. Là, il y a danger. Et après, si tu veux aller vraiment au trache du trache, parmi les conjoints, ceux qui vont toujours un peu moins bien, c’est les conjoints hommes. Donc si tu veux le record du conjoint qui ne va pas bien, c’est un conjoint homme qui voulait travailler et qui n’y arrive pas. Et là, d’ailleurs, quand on l’observe chez Expat Communication, parce qu’on aide les conjoints à retrouver du travail, c’est des situations où, quand les conjoints hommes nous appellent dans cette situation-là, en général, comme tu disais, ils sont au bord du retour. C’est-à-dire, s’ils ne trouvent pas hyper rapidement, on rentre ou je rentre, mais je ne reste pas. Orateur #0 Alors, ces dernières années, il y a notamment eu l’aventure Covid, il y a quand même eu une évolution. On peut plus facilement travailler en distanciel, il y a des outils qui se sont développés. Est-ce qu’une carrière, se trouver un métier, c’est plus facile ? plus facile ? Orateur #1 Oui, c’est plus facile, mais ce qui est marrant, c’est que, à cause de ça, les attentes des conjoints sont beaucoup plus fortes. Quand moi, je suis partie, il y a une vingtaine d’années, moi, j’étais vraiment dans cet esprit-là, ce que je disais tout à l’heure. Ok, je suis mon mari, mais bon, pour l’instant, c’est lui qui bosse, mais la prochaine fois, ce serait moi l’expat. On bosse tous les deux et on avait les mêmes types de jobs avant de partir. J’ai l’impression que je partais dans une grande ville en Australie. Donc j’allais trouver un job, c’était logique. Et en fait, la situation de conjoint est difficile pour trouver du boulot. En tout cas, ce qui a changé, c’est que là où moi il y a 20 ans, j’étais un peu pionnière, ça me semblait évident, mais beaucoup de conjoints expats autour de moi étaient en mode. ça va, t’excites pas comme ça, occupe-toi de tes enfants, ils en ont besoin, c’est vrai, et tu seras très heureuse comme ça. Donc ça ne m’allait pas comme modèle, mais c’était le modèle de beaucoup de conjoints autour de moi. Aujourd’hui, il y a quand même de plus en plus de conjoints qui, quand on leur dit profites-en, fais-toi une pause, 3-4 ans, profite du pays, profite de tes enfants, la vie est belle, tu as peut-être moins besoin d’argent maintenant, n’arrivent pas à entendre ce discours. Soit parce qu’ils ont peur de ne pas trouver un job au retour, soit parce que tout simplement ils ont besoin de stimulation intellectuelle et que cette situation doit rester, et où ils ne veulent pas être dépendants financièrement, et cette situation ne va pas. Donc si je reprends ta question, ça va mieux pour trouver du boulot, parce qu’on peut trouver du travail comme une digitale nomade ou en gardant son job d’avant, ou en travaillant à distance, c’est un petit peu plus facile, mais comme il y a beaucoup plus d’attentes des consommateurs sur le plan professionnel, il y a plus qu’avant. de conjoints qui se sentent frustrés de leur carrière dans l’expatriation. Orateur #0 Et quand bien même si on crée son propre travail, qu’on devient proprement son chef d’entreprise, ça devient un autre challenge aussi, c’est de réussir son entreprise. Et ça fait quand même, au-delà de l’expatriation, l’éloignement avec son pays natal, ça fait quand même un gros, gros challenge finalement. Orateur #1 D’autant plus que les conjoints expats, on disait tout à l’heure, quel est leur profil sociodémographique ? C’est souvent des premiers de classe, comme les expats. C’est-à-dire que c’est des gens qui ont souvent des beaux diplômes, qui ont bien réussi, qui ont souvent beaucoup travaillé, et qui ont l’habitude de se mettre des contraintes très élevées. Et nous, on le voit très souvent chez l’expat communication. Vous le voyez vu de l’extérieur, c’est tellement facile. Quand tu es dans la roue de l’écureuil, tu tournes, tu tournes, et puis tu ne te rends pas compte. Mais nous, de temps en temps, quand on le voit de l’extérieur, une femme avec cinq enfants qui est arrivée en Afrique depuis trois mois, et qui s’énervent en disant Vous comprenez, j’ai toujours pas trouvé de boulot. Tu me dis Détendez-vous, ça fait trois mois que vous êtes là. Oui, mais quand tu es à l’extérieur, c’est facile de dire ça, quand tu es dans la perspective avec l’angoisse de En fait, je risque de jamais en retrouver tu peux te mettre une pression complètement folle. Orateur #0 Avec le baromètre où vous avez 10 ans de recul, si on regarde 10 ans devant, est-ce qu’on a des raisons de se détendre un peu, que les choses vont s’organiser, que ça va être plus facile, qu’on va plus prendre en charge la place du conjoint accompagnateur, que l’entreprise va mieux s’en occuper ? Et là, je sens que tu vas lever les yeux en ciel en disant peut-être, mais pas assez vite. Orateur #1 J’ai carrément les yeux en haut de ma boîte crânienne. Parce que déjà, ce n’est pas facile d’analyser les données et de rester rigoureux. Mais alors, en plus, sur des projections, je change de métier, je peux dire Madame Irma. Mais sérieusement, quand je vois les files actuelles et que j’essaye de les suivre, qu’est-ce qui se dessine ? Côté des entreprises, je trouve que depuis quelques mois, c’est très récent, il y a un regain d’intérêt pour la conjointe et de… Enfin, c’est de l’internet, mais c’est aussi des… de l’inquiétude vis-à-vis des conjoints expatriés. Je pense qu’il y a eu un petit peu plus de refus d’expatriation à cause du recul. Mais ça, nous, on n’arrive pas à le mesurer, c’est trop fond. Et donc, plus de préoccupations pour le conjoint expatrié, donc peut-être un peu plus d’accompagnement. C’est possible. Et ça, c’est positif. Il y a aussi dans quelques entreprises, et ça, nous, on essaie vraiment de pousser pour ça, un peu plus de considération. Par exemple, un produit qu’on a et qui marche pas mal, c’est un guide du conjoint expatrié que les entreprises offrent, ils le personnalisent et ils l’offrent au conjoint de leur collaborateur. Ça, c’est quelque chose qui, je ne rencontrais pas trop d’écho il y a encore cinq ans. Aujourd’hui, on a beaucoup plus de succès avec ce type de choses. Orateur #0 Finalement, Alex, Orateur #1 ça y est, ce que j’aimerais, c’est un peu plus de flexibilité dans les carrières. c’est-à-dire un peu plus d’acceptation du fait d’avoir des trous, des parcours atypiques et des dernières. Et ça, je trouve que pour le coup, on est vraiment sur la bonne voie. Orateur #0 Alors la bonne nouvelle finalement, c’est que ce dossier spécial que l’on lise ensemble en plus, ça va mettre un peu plus d’éclairage encore sur cette position et donc ça ne sera que bénéfique pour le futur. Orateur #1 Exactement, merci beaucoup Cotier ! Orateur #0 J’essaie toujours, tu sais, de voir le bon côté des choses. On se retrouvera pour d’autres sujets. Le couple, les enjeux pour le conjoint, enfin on a des beaux thèmes qui se déroulent, on se retrouvera donc au cours de ce mois spécial.
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